Humide rencontre.

J’arrête ma voiture devant le portail blanc. Dans quelques instants nus nous rencontrerons enfin. Je suis partagée entre excitation et appréhension, comme lors de tous les premiers contacts. Je sonne. C’est E. qui m’ouvre, regard pétillant et sourire aux lèvres. Nous échangeons les quelques banalités d’usage, tout est naturel, comme si je venais visiter de vieilles connaissances. Il m’invite à le suivre. Nous contournons la maison et, au milieu du jardin, trône le fameux jacuzzi que je n’avais vu jusqu’à présent qu’en photo. Dans cet écrin humide, un joyau : L. est là, elle me scrute avec un regard curieux et passe sa langue déjà gourmande sur ses lèvres, comme une invitation. Elle sait qu’elle va être soumise à nos désirs, maîtresse de nos futurs plaisirs.

L. fait glisser la fermeture éclair de ma robe de cuir noir. Je suis totalement nue devant eux, exposée à leurs regards complices. Sans quitter des yeux L., il me laisse le déshabiller, les boutons de sa chemise de flanelle blanches, un à un obéissants sous mes doigts… D’un geste doux, je fais glisser le fin tissu à terre en lui effleurant, doucement les épaules.  Il continue de regarder intensément L. Je joue quelques instants avec la cordelette du pantalon de lin, et libère la queue déjà prometteuse de mon hôte.

Nous nous approchons du jacuzzi. L. nous suit des yeux…. Là, dans son seau à champagne garni de glaçons une bouteille et deux coupes sont à notre entière disposition. E. nous sert et nous buvons une gorgée de l’alcool délicieusement frais et pétillant. Nous sommes derrière L. Elle attend notre bon vouloir.

Nous entrons dans le bassin chaud, lui à la droite et moi à la gauche de E.  Nous trinquons une nouvelle fois et E. verse délicatement le reste de son verre sur un des seins offerts de E. Je l’imite. E. frissonne légèrement au contact du champagne glacé et les pointes de ses tétons se dressent instantanément, telle une luxurieuse invitation.  De concert nous léchons chacun les bouts durcis. Nos langues titillent, nos lèvres aspirent, nos dents mordillent sous les gémissements de L. E abandonne un moment cette douce torture pour embrasser E. à pleine bouche. De nouveau je le suis dans son jeu, telle une jumelle de plaisir, et, alors qu’il reprend le sein en bouche, j’embrasse à mon tour L. Nos langues se trouvent, se mélangent, s’amusent. Ma main descend sous l’eau, les cuisses de L. sont déjà largement écartées. Mes doigts viennent ouvrir les lèvres de sa chatte et ma main tapote légèrement le clito. C’est doux, chaud et humide. La main de E rejoint la mienne, un de ses doigts pénètrent doucement. Ma caresse se fait un peu plus appuyée, et un deuxième doigt fouille un peu plus la jolie chatte offerte. Nous accélérons encore nos mouvements sans quitter des yeux la belle L ; qui se mordillent les lèvres de plaisir.  Nous ralentissons nos mouvements pour faire durer son plaisir. Puis, sans cesser de la regarder pour ne pas perdre une miette de sa jouissance, nous la doigtons avec vigueur, mes doigts frôlant ceux de E. comme si nous n’étions qu’une seule main. L . se cabre, creuse ses reins pour que nos doigts la prennent profondément, comme un avant-goût à la belle queue de E. qui nous défoncera tout à l’heure. Nos mains s’agitent maintenant frénétiquement, transformant les clapotis du jacuzzi en mini vagues. Le corps de L. se tend, sa respiration s’accélère, elle ferme les yeux un instant et dans un cri nous offre son plaisir.

« Après cet amuse-bouche, je vous invite à passer au salon Mesdames ». Vraiment, mes hôtes savent recevoir……

A suivre….