Elle a envoyé un message vocal sur notre groupe commun WhatsApp : elle est dispo pour prendre un café et me propose de la rejoindre. Je n’ai pas grand chose à faire, dans l’immédiat : J’attends mon collègue Diego, il en a pour deux heures de visio…d’ailleurs je traîne sur le KA Book quand le message arrive. Mon esprit, déjà echaudé par un réveil brûlant avec Sophie, ma femme, ce matin, focalise sur ce message « pour toi je suis capable de tout et même de te proposer de prendre un café chez moi maintenant». Ces mots tournent en boucle dans ma tête et je n’arrive pas à les oublier. Et si j’y allais ?! Mais il ne se passera rien bien sûr puisque nos conjoints ne seront pas présents…enfin peut-être quelques baisers… Après tout, depuis le temps que l’on se connaît, on s’embrasse sur les lèvres pour se dire bonjour … et nous sommes dans le monde libertin …et ce jeu de séduction me plaît… j’ai envie d’y aller et en même temps, c’est risqué… Ma moitié n’appréciera sûrement pas, je le sais… Notre libertinage se vit à deux, jamais séparés… Mais j’aimerais bien savoir où cela peut mener…
Si mon esprit reste partagé sur mon envie de donner suite à cette proposition, mon sexe, lui, a clairement pris position : ma queue a réagit à ces paroles, que j’ai réécouté plusieurs fois pour être bien sûr d’en comprendre le sens. Sa voix envoûtante, pleine de promesses, a immédiatement provoqué mon emoi… et même si mon esprit dit en partie « non », tout mon corps réagit à cette promesse. Elle fait le premier pas et j’ai envie de faire le deuxième…
Un message de ma chérie me sort de mes pensées. Je la rappelle, elle me parle de tout autre chose mais mon esprit reste focalisé : qu’elle me dise qu’elle a confiance en mon amour …que je puisse y aller l’esprit serein…
Nous avons atteint assez de confiance l’un envers l’autre pour que je me permette de lui dire :
« tu as vu le message de Karine ? »
Un court silence de son côté…
« oui »
« Diego est en rdv pour deux heures et je n’ai pas grand-chose à faire en l’attendant. J’y vais ? »
Le silence me paraît interminable et je me rends compte à quel point je suis fébrile, à quel point j’ai envie d’y aller. Pourtant j’aime profondément Sophie…Mais cette autre femme semble me désirer… j’ai envie de savoir, envie de tenter le diable, de me laisser tenter…
“ si tu en as envie, vas-y… et tu me raconteras absolument tout en rentrant…”
Sa réponse me soulage et je sais que ma décision est déjà prise. Pourtant, en même temps, j’ai un doute… et si elle me le reprochait après…c’est très loin de nos règles habituelles…
“Tu es sûre, tu ne m’en voudras pas d’y aller sans toi ?”
“Tant que je sais où tu es, que je la connais et que tu me racontes tout dans les moindres détails quand tu me feras l’amour après…je n’ai aucune raison de t’empêcher de faire ce dont tu as envie…et tu as envie d’y aller, n’est-ce pas ?”
Elle me demande… dois-je lui dire le fond de mes pensées ? Bien sûr… elle me donne une telle liberté…elle qui était si jalouse… en deux ans, nous avons fait tellement de chemin ensemble. Si je ne suis pas honnête maintenant, je trahis toute cette confiance naissante, cette nouvelle relation ouverte qui se met en place…il faut que je lui dise et c’est dur car chaque mot peut la blesser…
“Oui, j’ai envie d’y aller mais je ne veux pas te blesser… je veux que tu me fasses confiance. Il ne se passera rien…” en prononçant ces derniers mots, je sais qu’ils sont de trop car je n’y crois pas moi-même…
“ c’est faux… elle est seule chez elle, elle te propose de la rejoindre, nous sommes libertins, tu lui plais et elle te plaît aussi. Et si tu as envie d’y aller, ce n’est pas juste pour le café. JE le sais et TU le sais aussi. »
Aïe … elle dit tout haut ce que mon corps entier pense, même si mon esprit ne veut pas l’accepter…
Que lui répondre… en vérité, je ne sais pas ce qui va se passer mais j’ai envie de jouer ce jeu…
“Vas-y… ne fais que ce que tu as envie de faire…je penserais à toi, je m’imaginerais ce que vous faites…Amusons-nous de cette situation : disons …. que tu as une heure avec elle, tu me dis quand tu arrives, tu me dis quand tu repars au bureau. Envoie des photos si tu y penses ou même des vidéos…tu n’as qu’une limite : ne jouis pas. Et peut-être même que je me toucherais, peut-être même que je sortirais quelques jouets en pensant à vous. Et ma limite sera la même que toi : je ne jouirais pas. Puis, pendant l’heure d’après, tu mettras par écrit votre aventure avec tout les détails et tu me l’enverras. Je t’attendrais fébrilement à la maison après avoir lu le récit de vos ébats, la chatte en feu pour que tu me le racontes encore, de vive voix dans le creux de l’oreille, pendant que tu me feras l’amour et que je jouirais plusieurs fois.”
Ses mots dissipent tous mes doutes et ont un effet immédiat sur ma queue…l’idée qu’elle voit cela comme un jeu auquel elle participe de loin m’excite incroyablement. Je l’imagine sur notre lit, se caressant pendant qu’à quelques kilomètres, je caresse Karine…les images se bousculent dans ma tête…et je me rends compte que : NON, il ne se passera PAS rien… c’est une certitude.. Que se passera-t-il ? Je ne sais pas…jusqu’où le jeu ira ? Je n’en sais rien non plus…mais j’ai très envie de jouer.
Nous raccrochons après nous être redit plusieurs fois à quel point on s’aime et à quel point ce que l’on vit est formidablement excitant…
Dès le téléphone raccroché, je n’ai plus qu’une idée en tête, rejoindre Karine…
Je poste un message sur le groupe commun avec Sophie « j’ai une heure devant moi, je suis dispo pour prendre un café avec toi… ». Les jeux sont faits… j’ai le cœur qui bat vite…la situation m’excite…
La réponse laconique « Je t’attends » résonne dans ma tête. Vite vite…
Ni une, ni deux… je quitte le magasin, monte dans la voiture, 5min et chose incroyable, je trouve une place juste en face de chez elle… machinalement, je mets une alarme dans une heure et comme promis à ma femme, je lui envoie un message “je suis devant chez elle, je t’aime.”. Les jeux sont fait, j’espère ne pas jouer à un jeu trop dangereux… le petit doute revient…
“Profite. Je t’aime. Je suis déjà toute humide de l’imaginer découvrant ta belle queue bien dure…”.
J’espère qu’elle a raison et que je serais à la hauteur….
Je sonne, elle ouvre la porte avec un beau sourire…elle porte une robe en maille, un peu informe, avec des collants et pieds nus : elle était en train de travailler… je suis presque un peu déçu de ne pas la trouver dans une tenue plus sexy… Elle m’embrasse d’un rapide baiser sur les lèvres… Sophie et moi avons certainement mal compris, c’est juste pour un café…J’avoue penser « Mince… »!
Elle se retourne pour m’accompagner dans la pièce et je ne peux m’empêcher de détailler ses fesses légèrement moulées par la robe : une jolie paire rebondie sur laquelle j’aurais bien volontiers laisser divaguer mes mains…
Je prend position sur un tabouret du bar et elle passe dans la cuisine pour faire le café. Nous discutons de tout et de rien. Elle et son mari, Dick, forment un couple soudé que Sophie et moi avons un réel plaisir à croiser régulièrement lors d’événements « verticaux » entre libertins. Elle a toujours une petite sortie piquante et drôle comme ma chérie. D’ailleurs, ces deux-là font la paire et ont déjà manigancé une rencontre moins sage dans 10 jours.
Elle est debout à côté de moi, son café à la main. Je ne peux pas m’empêcher de la détailler : des lèvres charnues, de beaux yeux bleues, bien que l’ensemble de son corps semble fin, ses seins sont bien visibles et bien ronds. Son attitude est charmante mais pas provocante : je me suis réellement fait des idées. Nos cafés sont finis, je me dis qu’il est temps de prendre congés. Elle me propose un autre café : j’ai bien envie de rester encore un peu.. si jamais…Je jette un coup d’œil à mon chrono, j’ai encore un peu plus de 40min…
Je lui dit « d’accord, mais je les fais ». Je passe en cuisine, elle reste de l’autre côté du bar…debout devant la machine, je réalise que je n’ai pas fait attention à l’emplacement les capsules.. devant mon hésitation, elle me rejoint dans la cuisine, se colle à moi pour ouvrir le placard en hauteur devant moi… je sens la pression de ses seins dans mon dos, mes fesses ressentent la chaleur qui émane de son entre-jambe… mon dieu, ma queue se réveille en sursaut et je bande d’un coup si dur ! Elle sort deux capsules, se décolle très légèrement de moi, juste assez pour que je me retourne vers elle.
Nous sommes face à face. Elle est à peine plus grande que Sophie mais ses lèvres semblent beaucoup proches des miennes. Je sens qu’elle se presse légèrement sur moi, ses seins effleurant mon torse et elle est suffisamment collée à moi pour ne pas ignorer la bosse énorme dans mon jean. Elle me regarde droit dans les yeux : L’intensité de son regard laisse clairement transparaître son envie. Elle attends un geste de ma part. Cette femme a envie de moi : j’adore ça. Je me rapproche de ses lèvres. C’est elle qui fait les derniers centimètres et qui vient coller sa bouche sur la mienne. Mes mains attrapent ses hanches pour la presser contre moi plus fort pendant que ma langue pénètre sa bouche… Elle se frotte contre moi et ballade ses mains sur mon torse, mon cou, mes épaules. J’entreprend de découvrir son corps pendant ce baiser qui se prolonge : à travers sa robe, je caresse son dos délicatement, j’attrape son visage entre mes mains. Le baiser s’interrompt, on se regarde dans un silence : chacun jauge l’envie de l’autre et réfléchit à la suite à donner. Elle rompt le silence la première
« j’avais tellement envie que tu m’embrasses. J’ai vraiment cru que tu ne venais que pour un café pendant un moment.”
Je souris
« j’ai bien cru que je n’aurais qu’un café!”.
Nous éclatons de rire.
« Je ne veux pas te mettre à mal avec Sophie, je l’aime beaucoup. Je connais vos règles. Cela ne lui posera pas de problème ce baiser ? J’avoue que l’envie m’a un peu fait franchir les limites dont nous avions parlé ensemble l’autre soir »
« Elle sait que je suis avec toi. Nous en avons parlé tout à l’heure et cela ne lui pose pas de problème. D’ailleurs je te propose de lui envoyer un petit selfi de nous deux nous embrassant pour que tu sois rassurée »
On sort de la cuisine et devant le canapé, on prend la pause avec mon téléphone, bouche contre bouche. J’envoie la photo à Sophie sur le groupe en lui écrivant : “ le café est délicieux”. Karine regarde son téléphone et souris.
Instantanément, nous recevons un message de Sophie : “ Ici, le café a commencé plus tôt et il est tout à fait divin…”. Quelque secondes plus tard, une photo de Sophie suit, également en selfi, qui embrasse … son tube de lubrifiant…. Je sais déjà à quoi elle compte jouer sans moi…
« elle n’est pas seule non plus ?” demande Karine dubitative
« Si, mais elle s’amuse en m’attendant, sachant que je suis avec toi”. “
« est-ce cela signifie que l’on peut s’amuser un peu tout les deux ? » me dit-elle avec un sourire coquin en se rapprochant de moi…
« Cette pause café prend une tournure tout à fait intéressante » dit-elle
”Tant que l’on fait participer Sophie !” lui dis-je en la prenant par la taille et en l’approchant de moi.
On s’embrasse de nouveau et je m’aventure un peu plus en avant dans la découverte de son corps. Je caresse ses hanches, son dos puis j’avance une main sous son bras en direction de sa poitrine mais je n’y vais pas tout de suite. Je m’attarde là… juste en frôlant la naissance de son sein… et je la sens palpiter à chaque fois que je rapproche un peu plus ma main. Sa respiration se fait plus rapide… je laisse le moment durer un peu pour laisser son désir monter… mais je sais que le temps passe et je ne sais plus du tout combien de temps il me reste…
Pendant ma caresse, elle continue de m’embrasser, me caresse doucement les épaules, le torse, le dos, une petite main s’est aventuré sur le haut de la fesse mais elle reste timide.
Enfin, ma main se saisi de ce sein rond et ferme. Malgré l’épaisseur de la robe, je distingue nettement sa pointe dure et tendue…je prend le temps de le pétrir, d’en faire le tour comme si j’imprimais sa forme dans mon esprit avec le toucher. Je viens m’attarder sur ce téton bien dur. Elle soupire et gémit. Quel plaisir de la sentir si désireuse et abandonnée… jamais une autre femme ne s’était donné à moi comme ça dans nos aventures à deux.. peut-être est-ce moi qui suis aussi plus attentif à elle car elle est seule? …peut-être suis-je aussi plus excité par cette situation ? Je repense au temps qui passe…
Quand ma main s’est saisie de son sein, immédiatement sa main s’est saisie de ma queue à travers mon jean… je bande fort, presque à avoir mal de la contrainte du jean…la petite main entreprend de me libérer de cette étreinte inconfortable… je la laisse faire et profite pour attraper à pleine main ses fesses. Quel plaisir de les caresser. Je remonte la robe en maille dont le contact n’est pas très agréable mais je tombe sur les collants. Tant pis, je descend juste la partie sur les fesses pour pouvoir les toucher. Sa peau est douce, un petit string sépare ses deux lobes. Des fesses magnifiques.
Sa main a réussi à libérer mon chibre qui se tend glorieusement vers elle. Elle baisse les yeux pour le regarder pendant qu’elle le branle.
« Hummm quelle belle queue que voilà. Elle a bien de la chance Sophie !”. Comment lui dire qu’elle est la première libertine à part Sophie à la voir aussi dure. Elle continue de la branler doucement et de l’autre main, elle déboutonne ma chemise, commence à m’embrasser le coup, descend sur le torse. Elle se dirige vers un de mes tétons, j’échappe un grognement de plaisir… “sensible, ici ?!?!” me dit-elle en me lançant un regard coquin…j’en ai arrêté mes caresses sur ses délicieuses fesses. Cette robe est détestable : j’attrape le bas et je lui relève pour lui enlever par la tête. Elle se retrouve en sous-vêtement avec son collant. Il est de trop. Je l’embrasse dans le cou, descend sur le rond de ses seins. Je passe rapidement sur ses tétons comprimés dans le soutien gorge…je m’agenouille, lui embrasse le ventre, j’attrape les côtés du collant avec les deux mains et lui descend sur les jambes doucement, sur les mollets jusqu’aux pieds. Elle soulève un pied dévoilant son entre-jambe. A ce moment une douce odeur emplie l’air : sa chatte sent si bon. J’ai envie de la goûter. Elle soulève l’autre pied et je l’attrape pour le reposer plus loin et ouvrir ses cuisses. Je dépose quelques baisers sur le triangle de son string. Elle attrape ma tête et soupire… c’est trop rapide… pas tout de suite, il faut que je la frustre un peu. Je me relève, je l’embrasse à pleine bouche et la pousse légèrement vers le canapé. Elle comprend mon manège et résiste. Elle me prend la main.
« viens… on sera plus à l’aise dans ma chambre..”
Ouh …la chambre, le lit… je vais avoir du mal à maîtriser le mâle dominant en moi qui commence à franchement se réveiller… j’ai envie de la posséder, envie de l’entendre gémir jusqu’à la faire crier de plaisir…
Je descends mon pantalon avant de la suivre, enlève mes chaussettes d’un geste rapide – ça aurait fait sourire Sophie ! – quelle heure est-il ? Je prend mon téléphone en passant et regarde l’heure… il ne reste que 20min… mince que ça passe vite ! Arrivés dans la chambre, elle me pousse sur le lit et me grimpe dessus. Elle a pris les choses en main et n’est plus du tout timide. Elle me caresse partout, m’embrasse fougueusement. C’est tellement bon de se sentir désiré comme ça. Elle s’attarde sur mes tétons. Que j’aime ça ! Je respire fort, ça m’excite incroyablement. Chaque coup de langue résonne dans mon chibre tendu. Je lui attrape les poignets et la retourne. J’ai envie de la goûter, de l’entendre gémir, de la faire jouir… je commence ma lente descente … elle se tortille, soupire, attrape ma tête et la pousse vers son entre-cuisse. J’embrasse son ventre, passe ma langue légèrement sous l’élastique de son string, effleure ses lèvres, son clito…elle sent bon, je meurs d’envie de glisser ma langue entre ses lèvres. Je descend plus bas sur ces cuisses, elle émet un gémissement de déception… il est temps de lui donner ce qu’elle veut. J’attrape les cotes du string et je le descend. Je regarde sa chatte, toute épilée comme j’aime, les lèvres fines luisantes d’envie, un clito plus gros que celui de Sophie, très gonflé – comme un petit bonbon qui a envie d’être léché pour fondre. Elle écarte un peu plus les jambes et je peux distinguer l’entrée de sa caverne déjà bien trempée… je commence par souffler doucement, elle tressaille… je dépose quelques baisers sur ses lèvres, sur son pubis. Un sur son petit bouton, elle miaule…je sors le bout de ma langue et commence une lente danse autour…elle est incroyablement réactive…puis peu à peu, je me rapproche, j’augmente le contact. Elle respire plus fort… je la sens d’un coup en train de gigoter, de s’agiter puis elle redevient calme. Mon téléphone sonne, je viens de recevoir un message. Je regarde rapidement , c’est elle qui vient d’envoyer une photo de la scène à Sophie…La coquine se prête au jeu aussi ! C’est comme faire un trio mais à distance !Je dois la récompenser de cette belle initiative: je plonge ma langue dans sa caverne, elle attrape ma tête, serre les cuisses autour de ma tête et émet un long gémissement de contentement…elle dégouline dans ma bouche, sa mouille est divine… je reviens vers son clito et glisse un doigt dans sa chatte. Elle me dit :”met un deuxième”. Je m’exécute. “Continue comme ça, je vais jouir”. OUI ! Je vais la faire jouir, c’est très excitant et je me sens tellement puissant à ce moment. Elle gémit plus intensément “encore” “Oui””plus vite””plus fort” “c’est bon !”. Sa voix devient plus rauque, ses hanches bougent au rythme de ma langue, mes doigts sont inondés de sa crème… elle est entrain de jouir… elle gémit fort mais ne crie pas.. je suis un peu frustré et déçu.
Je la sens redescendre… je sors mes doigts doucement, je remonte l’embrasser et continue de caresser sa chatte délicatement..
“hummm, c’était très bon. Tu lèches très très bien…”
je suis super flatté, c’est la première qui me le dit vraiment, à part Sophie bien sûr! Sophie !!!! Mince … elle n’a pas répondu au message de Karine…on a peut-être été trop loin… je jette un coup d’œil à mon portable – si ! elle a répondu (je n’ai même pas entendu le message arrivé tant j’étais concentré sur mon ouvrage…). Elle a envoyé une petite vidéo ! La coquine… je n’ai pas le temps de la regarder que Karine qui avait déjà repris son travail de branle avec sa main sur ma queue et descend pour la prendre dans sa bouche…je la regarde faire : elle y va doucement, avec tendresse. J’avais un peu peur qu’elle soit brutale mais au contraire elle prend son temps, déguste…
Elle s’y prend très très bien…ça va être dur d’y résister longtemps… pour me changer les esprits, je regarde la vidéo envoyée par Sophie… mauvaise idée ! Ça ne va pas me calmer du tout ! Elle a manifestement installé le ring lumineux et le téléphone dedans pour libérer ses deux mains… elle est allongée sur le dos, les jambes bien écartées et relevées…la vidéo est prise de très près sur sa chatte… elle caresse son clito, il est gorgé de sang, bien gonflé… elle a déjà bien dû se toucher pour avoir les lèvres d’un rouge si intense. Peut-être a-t’elle même déjà joui la coquine ! A cette pensée, j’ai moi-même une montée de sperme dans la tige… je pousse un peu la tête de Karine
“doucement si tu veux que ça dure, c’est très bon ce que tu me fais…” elle sourit et reprend sa fellation plus délicatement encore… je retourne voir la vidéo, elle insère un doigt dans sa chatte puis deux pendant que les doigts de l’autre main s’affairent sur son clito. Un petit mouvement de ses jambes vers le haut et … mais non, j’ai pas rêvé ! Elle porte le gros plug…la gourmande… elle doit être très excitée pour l’avoir inséré en solitaire… la vidéo se coupe. Je vais participer à son excitation : Je commence à filmer la tête de Karine qui s’affaire sur ma queue. Je tourne le téléphone pour que l’on voit bien sa bouche coulisser le long de ma queue quand elle l’avale jusqu’à la garde. Elle a la même capacité à l’avaler que Sophie. Elle a presque les lèvres sur les couilles. Pourtant j’ai une très belle erection, ma queue est bien longue et surtout très large et très dure. Ça fait longtemps que je n’ai pas eu une queue aussi grosse ! C’est très satisfaisant! J’avoue être assez fier et Karine a l’air de grandement apprécier ! Je filme quelques secondes et je l’envoie à Sophie. Elle me réponds immédiatement “elle fait ça bien ? Tu aimes ??” Je lui réponds sans ambiguïté
“oui, je t’avoue que j’ai de la peine à ne pas jouir.”.
Je regarde l’heure : il ne reste moins de 10min. J’ai envie de la refaire jouir… je me relève.
“Laisse moi me reposer un peu, je suis à la limite tant tu fais ça bien !” Elle souris, elle est ravie…
Elle se met en levrette et me présente son cul magnifique. Sa chatte est bien dégagée, son anus m’appelle. Je mets ma langue dessus, elle gémit – la coquine à l’air d’aimer les mêmes choses que ma coquine !- quel plaisir de la voir apprécier ce que je lui fais… je recommence à la lécher, elle mouille abondamment.
Je glisse mon nez dans sa chatte pendant que ma langue s’agite sur son clito. « C’est bon comme ça » « continue s’il te plaît » elle réclame, j’adore… je m’affaire de plus belle…j’enfonce mon nez aussi loin que je peux dans sa chatte. j’ai du mal à respirer, elle me noie dans son plaisir. Et d’un coup, sans crier gare, je me fais arroser et elle hurle de plaisir ! Le graal ! Elle m’inonde le visage, la bouche, le nez… j’en ai partout, je ne peux plus respirer mais quel bonheur !!!!
Je me dégage et je vois les draps inondés eux aussi… la photo pour Sophie s’impose ! Mais en prenant mon téléphone, je vois qu’elle m’a déjà envoyé la photo de nos draps … la coquine s’est laissée aller… Je prend la photo et envoie “Inondation de plaisir ici aussi”
Karine se retourne et me regarde comme pour me demander quelque chose. Je brise le silence
“tu veux que je te pénètre ?» un peu décontenancé par son regard insistant
“non, nos règles sont strictes, pas de pénétration sans que Dick ne soit présent, même si j’avoue en avoir immensément envie. Mais j’ai très envie que tu m’arroses à ton tour ».
Euh… j’hésite un peu… ce n’est pas le deal avec Sophie. Mais elle ne l’a pas respecté non plus…
« prend mon sexe dans ta bouche encore un peu… » elle se met en levrette devant moi, son cul magnifique trônant devant mes yeux et avale mon sexe…Comme j’aimerais que Sophie soit là et qu’elle la lèche pendant qu’elle me suce…
« La limite est levée, je ne l’ai pas respectée. Je serais punie par là où j’ai péché. Tu peux jouir mon chéri. J’attendrais plus longtemps, ce sera ma punition ». Décidément, elle lit dans mes pensées ! Et elle ne respecte rien, la coquine !!!! Une vraie enfant gâtée… mais je la récompenserais ce soir pour cette belle apres-midi !
Karine s’affaire sur ma queue, elle la gobe profondément, puis se concentre sur le gland, lèche le frein, revient sur la tige, prend mes couilles en bouche. C’est vraiment très bon… je sens que ce petit manège commence à être insoutenable. Ma queue est énorme, le gland est gonflé, prêt à exploser…
« montre moi tes seins et ta bouche que je les inonde «
Juste à prononcer ces mots, je sens que le point de non-retour est atteint ! Elle se redresse, prend ses deux gros seins dans ses mains, les resserrent et entrouvre la bouche juste au-dessus : elle est tellement belle, offerte, excitante, là dans l’attente de ma semence ». Je devrais faire une photo pour Sophie. Comme j’aimerais qu’elle soit à côté et que je les arrose toutes les deux. Je prend ma queue, à peine quelques aller-retour et de longues gicles de sperme jaillissent dans un orgasme puissant qui me saisi au plus profond. Le sperme arrive sur ses seins, ses mains, sa bouche, ses cheveux. J’ai l’impression de ne plus m’arrêter comme si je n’avais pas ejaculé depuis des mois. Elle jubile !
« Prend une photo pour Sophie. Elle va adorer ! ».
J’obtempère et prend une photo du sperme sur elle avec son beau sourire de satisfaction. Je l’envoie à Sophie. En même temps, mon alarme sonne ! Quel timing ! On ne pouvait pas être plus en phase !
Je l’embrasse tendrement pour la remercier de ce moment de plaisir partagé. Je n’en reviens pas du plaisir que j’ai eu. Je n’avais jamais ressenti ça lors de nos rencontres précédentes, ni même depuis un certain temps à bien y penser…j’y réfléchirais plus tard.
« C’était vraiment super. J’ai adoré. J’espère que Sophie aura aimé aussi. J’ai hâte d’être à notre soirée du 12 pour profiter d’elle aussi. » Je souris car je sais que Sophie a également hâte d’être à cette soiree. Et j’espère aussi qu’elle a aimé ce petit jeu. L’excitation passée, j’avoue que je me rends plus compte de ce qu’il vient de se passer et j’ai un peu peur de sa réaction…
« Oui, cela va être une très bonne soirée ! Notre petite pause café n’est qu’un avant goût », ne laissant rien paraître de mes doutes…
« Tu reviens prendre un café quand tu veux ! »
« Avec grand plaisir »
Elle me propose un vrai café mais je dois partir. L’heure est passée et Sophie doit attendre mon message.
Elle me raccompagne, on s’embrasse à pleine bouche mais cela n’a plus la même saveur, l’excitation passée…
A peine assis dans la voiture, j’envoie un message « je retourne au bureau. Je t’aime »
« N’oublie pas de tout écrire…j’adore ce petit jeu, je suis encore toute excitée »
J’ai hâte de retrouver ma femme…j’espère que Diego sera rapide. Paradoxalement, nous sommes encore plus fusionnels depuis que nous libertinons. J’ai envie de la serrer dans mes bras et de l’embrasser…Je l’aime immensément depuis 31ans.
Une lecture très agréable, merci 🙂
Merci Dick… j’ai pris beaucoup de plaisir en l’écrivant ! Je me suis bien amusée à prendre l’instant d’une invention la place de mon chéri !
Bonjour,
Magnifiquement plaisant…
Cordialement
Esteban et Lilou
Merci pour cet agréable moment de lecture
Merci également pour le clin d’œil ^^