L’été est traditionnellement la saison des mariages et mon statut d’indécrottable célibataire me vaut souvent des invitations au sein de mon entourage, la plupart du temps pour essayer de me caser mais toujours en vain. Ce n’est pas pour autant que je me prive de papillonner et je m’amuse bien en général une fois que les tables sont poussées et que l’on peut danser. 

Cette fois-ci, c’est un de mes vieux camarades d’université qui m’a convié, une seconde noce pour lui comme pour elle, et je ne la découvre qu’au moment où elle franchit la porte de la mairie. Elle porte une robe blanche mais sa couleur est tout ce qu’elle peut avoir de virginal. Largement décolletée sur une poitrine ronde, je constate qu’elle l’est tout autant dans le dos et elle est également fendue haut sur ses jambes. Bref, Patricia est extrêmement troublante et ce n’est pas lorsqu’elle se penche pour signer, à peine trop cambrée pour être honnête, que cette sensation me quitte, bien au contraire. 

Ma qualité de simple connaissance du marié me tient éloigné de leur table mais je ne la quitte pas des yeux et, une fois la pièce montée passée et la musique en marche, je prétexte les piètres qualités de mon copain pour lui subtiliser sa moitié. C’est le moment que choisit le disc jockey pour passer un zouk et je constate alors qu’elle est provocante jusque dans ses intentions puisque son bassin vient se coller au mien et qu’elle m’entraîne à onduler au rythme de la musique. C’est mécanique, je ne peux m’empêcher d’avoir une érection et je me dis qu’elle ne peut pas l’ignorer. C’est tout aussi gênant qu’excitant, surtout lorsque Patricia me chuchote à l’oreille que je dois avoir une belle queue. Je la ramène à sa table au bout de quelques minutes et elle m’embrasse sur la joue, très près des lèvres, afin de me remercier pour ce moment. 

La soirée se poursuit et je remarque au bout d’un moment que les mariés ont disparu. À la bonne heure, ils ont dû trouver un coin tranquille pour prendre un acompte sur la nuit de noce et si je m’en réjouis, je ne peux m’empêcher d’être un peu jaloux de Marc qui a trouvé une femme si volcanique. Il fait chaud dans la salle et je décide d’aller prendre l’air dehors. Il fait frais dans le parc et je m’y balade lorsqu’un bruit me fait lever l’oreille. Je me retourne. C’est Patricia qui m’a suivi et je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit, elle colle ses lèvres aux miennes tandis que ses mains s’attaquent à ma braguette avant d’en extraire mon sexe. 

“J’avais bien senti, tu es plutôt bien foutu de ce côté là et je sens que je vais me régaler. “

Je tente un “Et Marc ?” qu’elle balaie en un instant tandis qu’elle me branle lentement 

“Il nous a suivis pardi, il va être aux premières loges et il en sera ravi. “

Cette idée m’électrise tout autant que la bouche qui vient se refermer sur mon gland et la langue agile qui l’agace. Pas très longtemps toutefois car Patricia a d’autres projets me concernant. Je n’en ai pas moins cherché son mari des yeux et il me semble avoir vu du mouvement dans un bosquet non loin. Je perds alors le peu de réserve qui me restait et lorsqu’elle vient s’appuyer sur un tronc d’arbre, troussée bien haut, je comprends ce qu’il me reste à faire. Je bande dur et, pour me mouiller, je viens frotter ma tige sur sa fente, non sans faire des commentaires salaces sur son état, que la personne dissimulée à proximité n’a pas pu louper. Je m’enfonce ensuite en elle à fond et entame un va et vient que je veux lent pour commencer avant d’aller crescendo. Un dialogue cru s’engage immédiatement avec elle sur le fait qu’elle est une belle salope de se faire baiser par un inconnu le soir du mariage et que son cocu va se régaler avec elle. Je la démonte consciencieusement à présent, elle ne peut s’empêcher de crier qu’elle aime ça et je suis persuadé qu’il n’en perd pas une miette. 

Les meilleures choses ont pourtant une fin et, à sa demande, je lui éjacule sur les fesses avant qu’elle ne se rajuste. Ça doit couler sur ses jambes et elle me dit que c’est le but recherché et qu’il se régalera de lécher mon foutre avant de repartir. Le poste d’observation a entre-temps été déserté et lorsque je rejoins la salle à mon tour, ils sont là tous les deux comme si de rien n‘était. Le regard de Marc est juste très brillant lorsqu’il me salue d’un hochement de tête complice que je lui rends.  

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