Elle ouvre les yeux … Elle s’étire, féline, telle une chatte heureuse et paresseuse… La radio diffuse des chants de Noël qui lui rappellent que, il y a quelques heures, son corps a été sacrément profané.
Cette langue, cette queue, quels délices…. A cette voluptueuse évocation, sa main glisse sur son corps, ses ongles effleurent les tétons qui se dressent instantanément… Du bout des doigts, elle pince délicatement la petite excroissance de chair rose. Son autre main descend entre ses cuisses encore poisseuses de sa jouissance de la veille.
Dans le tiroir de la table de nuit, son fidèle Tulip wand… Elle pense un instant à l’utiliser, mais elle a besoin du contact de la peau, de ses doigts chauds sous sa couette…
De deux doigts, elle tapote son clitoris pour le faire gonfler, se gorger de sang. Elle le comprime , le caresse. Ses mains s’affairent de concerts sur son sein et sur sa chatte. De deux doigts, elle se pénètre, elle ressent ses spasmes, doux massages!!!
Elle se cambre pour aller chercher ce point G qui n’ est pas une légende… Elle a envie d’un orgasme fort et violent. Mue par une envie soudaine, elle ouvre fébrilement le tiroir et en sort un long jouet violet…. Elle se veut doublement emmanchée… Elle porte son majeur ,trempée du jus de son entrejambe, à sa bouche… Quel goût agréable, légèrement acide avec une pointe sucrée en fin de bouche… Son doigt ainsi salivé, elle prépare rapidement son trou du cul à recevoir le gode vibrant. Jambes écartées, elle s’encule et se doigte furieusement… Le désir monte fulgurant… Elle ne peut rien faire que de hurler. Crier la double jouissance qui la tétanise. Ses muscles se contractent et se relâchent enfin dans un ultime spasme. Le gode encore dans le cul, elle s’empare de son téléphone… Du bout de ses doigts gluants de plaisir, elle tape un message pour l’inconnu : ‘Musée du Petit Palais… Demain 10h »
Je me réveille avec un sourd bourdonnement entre les oreilles mais des gueules de bois j’en veux des comme ça tous les jours, ne serait-ce que parce que l’ivresse qui m’y a conduit n’a rien à voir avec l’alcool. C’est en effet le fait de ressasser cette nouvelle rencontre de la veille avec mon inconnue qui me fait cet effet. Et, bientôt, le bourdonnement se porte à mon bas ventre. À la seule pensée que j’ai profané le temple le plus secret de cette femme, dont j’ignore encore le prénom, dans une église alors que les fidèles s’y pressaient, je sens ma queue se déployer et, même si ce n’est qu’un pis aller, je ne peux m’empêcher de la saisir à travers mon caleçon de pyjama en pensant que ce sont ses doigts à elle. Le tissu devient vite gênant, j’ai besoin d’amplitude pour me caresser, et me voilà nu à présent, tout à ma masturbation, ses images toutes plus obscènes les unes que les autres à l’esprit.
Mon téléphone se met alors à vibrer. Elle ? Déjà ? Ce serait trop beau pour être vrai. J’ouvre fébrilement ma messagerie, c’est un long texte de sa part dans lequel elle me raconte avec une crudité incroyable comment elle a joué avec son corps sitôt ses yeux ouverts et qu’elle conclut par un rendez-vous le lendemain dans la matinée dans un musée de la ville. J’ai donc un peu de temps pour récupérer d’hier et même de ce que je pourrais faire inspiré par ses mots. Je veux toutefois lui en offrir plus et je sors un trépied auquel je fixe mon smartphone ainsi que mon déclencheur à distance.
Il me faut un peu de temps avant de trouver le bon cadrage mais je suis finalement prêt et lance la vidéo. Elle va ainsi voir et entendre ma réponse de vive voix à ses jeux et à son invitation. Je prends le temps de me faire grossir, non sans oublier de masser délicatement mes couilles. Le simple fait d’imaginer quel public va avoir ce petit film fait monter mon excitation en flèche et je dois vite me calmer. C’est alors que je me dis qu’une personne de sa trempe, qui aime le cul à ce point, doit également apprécier celui des autres. Eh bien soit, je vais lui offrir le mien. Me voilà donc un coussin sous les reins pour les surélever, les jambes repliées sur mon torse, et tandis que ma main gauche enserre ma tige, deux doigts de la droite plongent vers la corolle sombre de mon anus et s’y fichent avant de se mettre à entrer et sortir en cadence.
“Vous n’êtes pas là seule à pouvoir doublement vous branler ma Chère. À demain…”
Clap de fin. J’ai finalement décidé de me préserver pour notre prochaine joute car si elle se prend au teasing que je viens de lui envoyer, je risque d’avoir besoin de toute mon énergie. Je finis par me lever et me fais un café. Il est un peu acide, comme elle quand elle me coule dans la bouche.
Son thé chaud et parfumé refroidit dans sa tasse. Elle a les yeux rivés sur son téléphone. Il est difficile de résister à la tentation de replonger ses doigts dans sa fente encore gorgée de son plaisir matinal. Le message de l’inconnu ne lui laisse aucun doute sur l’issue orgasmique de leur rdv du lendemain. Elle a déjà envie de ses mains sur elle, de son regard qui se brouille quand elle a sa queue dans sa bouche, de sa langue experte….
Il faut pourtant patienter jusqu’à demain… Ne pas se toucher, se garder intacte pour que son plaisir explose avec lui. Pour qu’elle lâche totalement prise. Mais le message de l’inconnu a totalement éveillé ses sens. Que faire pour garder la tête (et le reste…) froide? Elle se décide pour faire quelques emplettes en ville. S’offrir un bel ensemble de lingerie, une paire de bas couture, un porte-jarretelles peut-être, bonneterie certes un peu désuete, mais d’une sensualité extrême. Lingerie qui pourra être ôtée délicatement ou souillée de foutre par son amant, le choix du Roi.
Elle décide donc d’aller affronter le Mistral d’Hiver qui calmera un peu ses ardeurs.
La boutique est pratiquement vide, il y a une jeune fille qui flâne devant le rayon des sacs, et un homme dans le rayon des sous-vêtements féminins, dubitatif devant tant de choix.Elle sourit : encore une femme ce soir qui aura un soutien gorge ni à son goût ni à sa taille… Pour sa part, Elle choisit un ensemble de dentelle blanche : elle aime porter du blanc sous ses vêtements sombres. Il y a, la aussi, un chemisier de satin noir, au décolleté tentant… Elle imagine la main de l’inconnu y plonger, s’emparer de son téton. Il faut qu’elle essaie cette merveille. Elle se dirige vers les cabines d’essayage. Devant elle, l’homme aux soutien gorges attend pour essayer des pantalons. Et si…et pourquoi pas… Elle avait décidé d’être sage… Mais elle veut répondre au message de l’inconnu. Elle veut que, lui aussi soit impatient… Elle se faufile dans la cabine à côté de celle de l’homme… Elle met son téléphone sur mode enregistrement…. Débarrassée de son pull, son jean sur les chevilles, ses mains caressent ses seins, elle exagère un peu son gémissement. Elle se pince, fait rouler des tétons entre ses doigts… Elle râle de plaisir…. Dans la cabine d’à côté, un « oh putain »…
Elle entend un léger bruit : l’homme a collé son oreille contre la paroi… Elle se doigte avec vigueur maintenant, tellement trempée que l’homme ne peut pas ne pas entendre les clapotis de sa mouille sur ses doigts qui vont et viennent…. Quelques mots crus lancés par l’homme sa cabine … Debout, la main entre les gens, elle l’imagine sa queue à la main… Elle l’encourage derrière la paroi : Vas-y, branle toi .. Elle entend la respiration et les grognements de l’homme. Elle mouille furieusement, ça lui inonde les cuisses. Une main appuyée sur la paroi, trois doigts dans sa chatte, elle laisse son plaisir l’envahir… Elle entend nettement : Salope, tu le eux mon foutre? . L’homme est au comble de son excitation, son poignet doit s’agiter au rythme de ses gémissements à elle. Son bassin s’agitent pour que ses doigts pénètrent un peu plus profondément en elle… Elle gémit de plus en plus fort… Juste avant que la jouissance ne la prenne tel un tsunami, elle lance, entre deux râles de plaisir : « Décharge ! »… D’un geste rapide, elle colle son téléphone contre la paroi, l’homme grogne son plaisir, laisse échapper quelques mots salaces. Les spasmes de plaisir lui vrillent les reins. Elle ferme les jambes sur sa main. La garde quelques instants en elle. Puis la retire avec regret pour lécher avec délice le goût de sa jouissance. Elle arrête son enregistrement, et les cuisses trempées, le pantalon encore sur les chevilles, elle le transfère à l’Inconnu.
Je savais déjà qu’elle était une fieffée coquine, ce que je viens de recevoir me prouve à quel point elle peut être salope. Ce n’est en effet ni plus ni moins qu’une vidéo de masturbation dans la cabine d’essayage d’un magasin qu’elle m’a envoyé et je l’entends clairement encourager un homme à décharger en même temps qu’elle au moment où elle jouit. Qui est-il ? Je ne pense pas que ce soit un amant, seulement le complice malgré lui de ce moment d’une intensité folle et à la seule idée qu’elle n’ait été séparée de lui que par une fine cloison ou un rideau me rend dingue. Pas question pour autant que je me soulage du trop plein de stupre qu’elle vient d’instiller en moi. Je veux être en pleine possession de mes moyens demain lorsque nous nous retrouverons et les couilles pleines pour mieux l’arroser. Je la vois face à moi, dépoitraillée pour accueillir ma queue au creux de son sillon mammaire. Ces seins, dont je comprends à quel point ils peuvent être source de plaisir pour elle, j’ai envie de les honorer à ma manière, d’en agacer les tétons du bout de mon gland tandis qu’elle fourragera entre ses cuisses avant le bouquet final. Elle voulait le foutre de cet homme ? Elle aura le mien.
À cette seule pensée, je sens un léger fourmillement me parcourir le bas ventre et je ne peux m’empêcher de porter la main à mon paquet. Je suis pourtant sorti faire une petite course et me trouve dans la rue. L’énormité de la situation m’aiguillonne au point que je ne vois pas d’autre solution que de lui rendre la pareille. Je me fiche de la boutique seule compte la relative intimité d’une tenture. La vendeuse me regarde, interloquée, prendre à la hâte un pantalon visiblement pas à ma taille sur une pile et disparaître.
“Je peux vous aider ? “
Je ne peux décemment pas lui demander de me la tenir tandis que je prendrai une photo. J’ai déjà la bite à l’air et brûle de sentir la chaleur d’une main sur ma tige. J’ai l’impression que la cabine pue le sexe et que la jeune femme se l’autre côté du rideau s’en rend compte. Ce que me confirme sa réaction.
“Vous n’avez, je le crois, pas besoin d’un vêtement mais ma proposition d’aide tient toujours… “
Je suis mort de honte et, tout à la fois prêt à exploser tant le ton de sa voix était explicite. Ce n’est pourtant pas ce que je veux et, après avoir pris quelques photos auxquelles je joins une description de la situation, je sors, les joues en feu. La vendeuse me sourit.
“J’ai entendu les déclics, heureuse celle qui bénéficie de vos attentions. Bonne fin de journée et à très vite, je vous recevrai toujours avec plaisir. “
Je quitte la boutique le rouge aux joues. Je reviendrai c’est certain, avec mon inconnue certainement, et je sais que nous aurons ici une main secourable et amie.
Dans une petite heure à peine, elle rencontrera de nouveau l’inconnu. Les clichés reçus de sa belle queue dressée hier, visiblement dans une cabine d’essayage aussi lui ont mis l’eau à la bouche, et ailleurs. Il lui faut être belle pour lui, être désirable. Au-delà d’une tenue soignée, ce sont les détails qui importent : le diable se terre dans les détails. Elle commence par dérouler les fins bas de soie noire le long de ses jambes, les attache délicatement aux pinces du porte-jarretelles de dentelles blanches qu’elle a acheté la veille. Puis, c’est au tour de ses seins d’être habillés d’un soutien-gorge à balconnet assorti. Par-dessus cette lingerie, elle enfile une douce robe de laine grise. Le frottement sur sa peau en est agréable. Pour parfaire cette tenue, elle a choisi plusieurs bijoux : une broche ronde, représentant le buste d’une femme aux yeux bandés, avec la mention porn for the blind, un clin d’oeil au plaisir qu’elle va sans doute prendre. Sur son poignet, un discret bracelet, fin, en argent. Elle habille son majeur droit, d’une large bague ciselée incrustée de quelques pierres. Des ongles ont encore leurs habits de fête. C’est important les ongles: elle aime voir ses mains aux ongles impeccablement peints branler une queue, titiller des tétons. Elle laisse libres ses longs cheveux noirs, maquille ses yeux sombres d’un trait de khôl noir. Elle enfile ses bottes en nubuck fauve, attrape sa redingote noire, sa casquette gavroche et s’achemine vers sa destination.
Elle est, à dessein, légèrement en retard. Elle veut le chercher du regard, le trouver parmi la foule, s’abreuver de sa silhouette. Une douce chaleur l’accueille dans la première salle du musée. L’inconnu n’ est pas parmi la foule assez dense déjà. Elle passe, fébrile, dans la deuxième salle qu’elle survole du regard… Sur un banc, un homme est assis, immobile, il semble en pleine contemplation. C’est lui, elle en est sûre, cette stature, cette façon de se tenir… Elle se fraye un chemin parmi la foule. Elle voit ce qui accroche autant son regard… La fabuleuse toile « Concetto spaziale » du plasticien Lucio Fontana.
Cette toile rouge, impudiquement écorchée de fentes, est un excellent choix. Elle s’approche de lui. Sa bouche contre son oreille, elle murmure.
« Ne te retourne pas Monsieur. Regarde, contemple cette fente. N’as-tu pas envie de caresser ses contours? D’y glisser un doigt ? Deux trois peut-être ? Ne veux-tu pas écarter ces lèvres délicatement et goûter le jus qui y perle de ta langue ? ».
L’inconnu se tend imperceptiblement. Elle continue son récit, à son oreille, insensible au monde autour d’Elle.
« N’aimerais-tu pas, Monsieur, lécher jusqu’à plus soif cette fente offerte ? En aspirer le jus en la baisant de concert de tes doigts ? «
La respiration de l’inconnu est un peu plus saccadée…De la pointe de sa langue, elle frôle le lobe de son oreille… Et, elle s’éloigne doucement de Lui, sans bruit… Et se perd dans la foule… Elle sort son portable, tape un message qu’elle envoie à l’inconnu
« Trouve-moi, et baise-moi »…
Je dois avouer ne pas avoir très bien dormi la nuit dernière. Il y avait tout de même matière à être troublé entre l’invitation de mon inconnue, même si je commence à me faire à ce qu’elle me propose et les allusions de la vendeuse. Enfin, je me suis tôt et, tandis que la Bialetti chantait doucement sur le feu, je me suis préparé. C’était l’occasion de sortir mon boxer noir de chez SandyX dont la dentelle sur le devant incite délicieusement à aller chercher ce qu’elle dévoile à peine par transparence. Mon inconnue devrait y être sensible, elle qui semble avoir un tel souci du détail.
Je n’ai pas traîné en chemin et suis arrivé en avance au musée. Je préfère que ce soit ainsi pour un rendez vous, je peux me familiariser avec les lieux et être ansi plus à l’aise. Je ne m’attendais toutefois pas à ce que j’ai désormais sous les yeux. Je ne connaissais pas Lucio Fontana jusqu’alors et je dois m’asseoir afin de prendre toute la mesure de son œuvre. La force du Concetto Spaziale est prodigieuse et je me perds dans la contemplation des deux fentes qui barrent la toile. Ce n’est peut-être ni le lieu ni le moment mais je me mets aussitôt à penser à son négatif, une fente de chair rouge que surplombe le noir d’une toison parfaitement dessinée et à laquelle je pourrais m’abreuver jusqu’à plus soif.
Absorbé par mes pensées artistico libidineuses je n’ai pas senti sa présence et je sursaute lorsque sa bouche se colle à mon oreille. Je suis tétanisé alors qu’elle distille ses paroles en parfaite adéquation avec ce j’avais à l’esprit, sauf au niveau de mon bas-ventre. Ma queue enfle doucement au fur et à mesure que je l’écoute mais je finis par en être pour mes frais car elle s’éloigne soudain et disparaît dans la foule des visiteurs, me laissant à demi bandant et totalement frustré. Ce n’est pas d’elle de m’allumer et de partir du peu que je la connais, elle m’a montré qu’elle savait aller très loin, et j’ai un instant d’incompréhension. Tout s’éclaire lorsque je sens mon téléphone vibrer.
“Trouve-moi et baise-moi… “
Un jeu de piste, voilà qui n’est pas pour me déplaire et elle ne perd rien pour attendre. Son châtiment sera à la hauteur de l’excitation de cette chasse. Je me mets donc à sa recherche, tout d’abord à l’aveugle mais, très vite, je reçois des indices. Ainsi je reconnais dans quelle salle a été prise la photo que j’ai à l’écran et je m’y rue. Elle n’y est évidemment plus mais la piste se réchauffe en même temps que mon esprit quand je constate qu’elle est tout aussi précise dans sa localisation que claire dans ses intentions vu que, après une jolie broche plus qu’explicite, l’inconnue me dévoile des fragments de sa peau par l’échancrure de sa robe et, par là même quelques uns de ses tatouages. J’ai beau l’avoir déjà vue nue, le fait qu’elle s’expose ainsi dans un lieu public fait aller crescendo mon excitation et c’est plein d’un désir désormais irrépressible que je fais de nouveau irruption dans la salle où je l’attendais. Elle a pris la place que j’occupais il y a quelques minutes et ses yeux et le khôl dont elle a orné ses yeux exacerbe le feu sombre de son regard. Elle les baisse une fraction de seconde. Elle est à moi, il ne reste plus qu’à déterminer où et comment.
Elle s’est laissé rattraper. Elle est là, maintenant à sa place sur le banc. Elle est à Lui. Elle connaît parfaitement les lieux pour y avoir travaillé en saisonnière il y a une paire d’années. Elle se lève et, d’un regard, elle l’invite à le suivre. Au fond de la dernière salle, une porte grise qui, aussitôt ouverte, dévoile quelques escaliers. Elle le précède dans un petit couloir… Sur la droite une autre porte sur laquelle est placardée une plaque émaillée avec la mention : « entrée interdite à toute personne étrangère au service ». De la poche de sa redingote noire, elle sort une clef. Elle avait, en son temps, fait un double afin de pouvoir se soulager de la chaleur que lui procuraient les récits plus qu’érotiques qu’elle lisait entre deux tournées d’inspection des salles.
Entre balais, aspirateur et autres produits ménagers, trônent un petit bureau et un tabouret sur lequel elle dépose sa redingote.
Il est debout face à elle. De ses doigts elle caresse doucement sa nuque. Elle sent immédiatement les frissons qui lui parcourent la peau. La tension est si forte, le désir si perceptible. Elle l’attire vers elle, elle sent sa langue chercher frénétiquement la sienne. Plaquée contre lui, elle peut se rendre compte avec délice que sa queue est totalement dressée, dure à en faire craquer les coutures du pantalon…
Elle met fin au baiser torride, pour s’occuper de faire tomber le pantalon de l’inconnu sur ses chevilles. Elle est agréablement surprise par la vue de ce boxeur qui laisse apparaître une promesse qui lui humidifie les cuisses. Elle lui intime l’ordre de s’asseoir sur le bureau. Elle veut sa queue sous sa langue, dans sa bouche, avant qu’il ne la possède. Elle agace de ses ongles, quelques instants, le membre sous la dentelle du boxer, prêt à exploser déjà. Il va falloir qu’elle utilise tout son savoir-faire pour retenir le plus longtemps possible le foutre qu’elle finira par avoir ou bon lui semblera.
Elle le débarrasse de ce sous-vêtement devenu encombrant, lui écarte les cuisses et, s’agenouillant, elle vient frôler ses couilles pleines de la pointe de sa langue.
Il grogne déjà… Doucement, tout doucement, elle fait glisser sa langue de la base de sa queue à son gland, y déposant une large traînée de salive. Sa bouche happe le bout du gland, le tétant lentement, le décalottant et le recalottant de ses lèvres pincées. Elle l’entend gémir maintenant et, entre deux soupirs, ces quelques mots chuchotés
« Quelle divine bouche…”
Elle accélère imperceptiblement son mouvement. Elle l’avale jusqu’à la garde, sentant son gland gonflé contre sa gorge, elle le garde ainsi quelques instants, chaud, palpitant et dur dans sa bouche. Ses mains viennent remplacer sa bouche, branlant ensemble cette belle queue. L’une va sur la tige, l’autre vient sur les couilles. Le massant ainsi lentement, elle ne quitte pas l’inconnu du regard. Elle veut voir cette lueur animale dans ses yeux, saisir l’instant où tout va basculer.
Elle accélère encore son mouvement. Il se cambre et gémit. Il lui implore d’aller plus vite. Elle arrête au contraire. Il lâche un « Salope » du bout des lèvres. Elle le regarde et reprend son mouvement à deux mains, calmement… Il râle de plaisir quand elle accélère de nouveau… Plus vite, plus vite, encore, encore. Il accompagne les mouvements de son bassin, il baise littéralement ses mains. Elle le lâche finalement, stoppant net ses ardeurs. Dans les yeux de l’inconnu, elle lit la surprise, la frustration, et la bestialité tant attendue. Il se lève du bureau, l’y assoit à son tour. Il lui remonte sa robe jusqu’à la taille, ses bas luisent de son jus.Sans culotte elle est totalement offerte. Il lui écarte les jambes sans ménagement et la pénètre sauvagement. C’est si bon cette perte de contrôle animale. Il la baise les yeux dans les yeux, il est puissant, carnassier. Il la possède totalement. C’est lui qui mène le jeu maintenant. Elle s’abandonne totalement et jouit dans un cri. Il approche sa bouche de son oreille et lui dit dans un souffle
“ je n’en ai pas encore fini avec toi, retourne-toi, je veux ton cul ! “
Il ne lui laisse pas reprendre son souffle, elle sent la queue trempée de l’inconnu contre ses fesses. Il lui agrippe les hanches et l’encule avec puissance. Il lui arrache un cri de plaisir. Elle sent son excitation extrême. Il alterne maintenant ses coups de boutoir dans son cul et dans sa chatte. Elle ne peut que hurler son plaisir. Elle jouit par vagues, ressac de plaisir qui lui vrillent les reins. Elle entend la respiration de l’inconnu devenir de plus en plus saccadée.
D’un coup, il se retire d’elle. Elle entend à peine le « Suce-moi ». Debout contre le bureau, il attrape sa tête à deux mains et la guide vers sa queue qui va exploser d’un instant à l’autre. Elle la prend dans sa bouche, elle a son goût à elle acide, iodé, légèrement épicé. Deux ou trois mouvements de va-et-vient suffisent à lui faire décharger de longs jets chauds. Dans un cri, il lui maintient la tête, sa queue est au fond de sa gorge. Elle avale tout son foutre. Elle se relève alors, il embrasse à pleine bouche. Elle jette un coups d’œil à la pendule… Déjà ??!!
« Dépêchons-nous, la prochaine tournée d’inspection et dans moins de 10 minutes…”
Elle ne s’embarrasse pas de la moindre toilette avant de rabattre sa robe sur ses cuisses alors qu’elle a giclé de plaisir pendant que je l’enculais et que cela doit couler le long de ses bas. Elle semble même presque fière d’arborer ces marques de la jouissance que je viens de lui donner
Elle me prend ensuite par la main et m’entraîne dans l’escalier. Je la suis, les jambes flageolantes et la tête bourdonnante. Il y a eu un cap de passé avec cette partie de jambes en l’air et je ne me suis pas reconnu dans ce type puissant et sauvage qui l’a prise avec une intensité folle avant de lui faire boire mon jus jusqu’à la dernière goutte. Moi qui suis plutôt attentif à donner du plaisir, j’ai l’impression que j’ai surtout voulu prendre le mien en me servant d’elle et je m’en veux presque d’avoir à ce point perdu les pédales.
C’est quand je vois son sourire alors qu’elle disparaît à nouveau dans la foule, cette fois pour clore ce rencard, que je comprends. C’est plutôt elle qui m’a utilisé, une fois de plus, et elle a savamment dosé ses effets pour me mettre dans un tel état. Je l’ai baisée, certes mais elle m’a tout autant baisé et a dû se régaler de me changer à ce point. Mon foutre au fond de sa bouche avec le goût de sa chatte et de son cul sur mon gland n’a été que la cerise sur le gâteau, sa récompense elle l’avait déjà eue lorsque je l’ai basculée comme un soudard sur ce vieux bureau.
C’est avec cette réflexion en boucle dans ma tête que je rentre chez moi. Je ne sais ce que l’avenir me réserve avec elle mais une chose est sûre c’est que je ne suis pas au bout de mes surprises et, dans de telles conditions, je ne demande pas mieux que d’en savoir plus sur moi-même.
mon dieu mais comment tu arrives à écrire de si beau texte?😱 à chaque fois c’est pareil je me plonge dans ton histoire mon cœur palpite deux fois plus vite que d’habitude❤❤ et à chaque fois que je me pose et que je prends le temps de lire tes écrits je finis toujours par branler ma queue et en faire sortir mon foutre😋 un grand merci mon ami de m’avoir fait voyager😘