En voiture s’il vous plaît

J’ai été surpris, en arrivant chez eux, qu’ils me disent que nous partions ailleurs. Leur maison a pourtant été le théâtre de bien des turpitudes mais elle en a décidé autrement m’a-t-il dit et s’il s’y range, je me retrouve à me plier à leur majorité. Beau joueur, je leur propose de les conduire. Ils n’en attendaient pas moins de ma part me répondent-ils et les voilà qui s’installent tous les deux à l’arrière de mon véhicule. Je trouve cela étrange dans un premier temps, un peu décevant même car je m’attendais à ce qu’elle se mette à côté de moi et s’amuse un peu avec moi sous le regard de son mari, mais je trouve finalement l’idée d’être leur chauffeur plutôt sympa et décide de régler mon rétroviseur sur eux plutôt que sur la vitre arrière. 

Bien m’en prend car, à peine ai-je fait quelques kilomètres que je me retrouve avec le panorama des cuisses grandes ouvertes de ma complice et sur son minou parfaitement glabre dont les grandes lèvres se dessinent parfaitement dans la lumière du plafonnier. Il m’est de plus en plus difficile de regarder la route, d’autant plus qu’il semble prendre un malin plaisir à la faire gémir sous ses caresses, ce qui fait que j’ai désormais le son et l’image qui me vrillent le cerveau. 

Il reste toutefois un peu de route à faire et je ne suis pas au bout de mes peines car le voilà désormais au centre de l’habitacle, sa grosse queue à l’air qu’elle branle amoureusement avant de s’empaler dessus. Le deal est clair à présent : je dois arriver à destination avant qu’il ne jouisse sous peine d’avoir mes sièges ruinés par leurs fluides mélangés. Ce qui est en revanche plus réjouissant, c’est la perspective de me glisser en elle lubrifiée par le foutre de son homme et c’est un sacré dilemme qui se présente à moi. 

Je décide de ménager la chèvre et le chou en roulant juste assez vite pour arriver au moment fatidique et assez doucement pour ne rien perdre du spectacle qu’ils m’offrent sans nous mettre en péril. Elle est superbe à monter et descendre sur le pieu de chair qui l’emmanche et je ne peux m’empêcher de les encourager de la voix tandis que je conduis. Elle va de plus en plus vite, il me semble même qu’il l’a saisie par les hanches pour modérer ses ardeurs, et je me dis que je suis bon pour un nettoyage de ma banquette quand, tout à coup, elle le retire d’elle avant que sa bouche ne vienne le gober. Il ne faut ensuite que peu de temps avant que ne l’entende grogner son plaisir tandis qu’il remplit la bouche de sa femme de foutre. 

C’est alors que je me rends compte du fait que nous sommes arrivés et je me gare précipitamment avant de sortir de ma voiture et de leur ouvrir la portière. Je reçois ensuite ma récompense sous la forme d’une pelle doublement baveuse. Cette soirée commence décidément très bien.