Ce que femme veut : Épisode 4

Le numéro d’un train ainsi que celui d’un quai. Voilà en tout et pour tout ce que je sais de son envie que nous passions plus de temps ensemble. Alors, bien entendu, j’ai fait des recherches et je sais à présent que notre destination se trouve au bord de la Méditerranée, pas trop loin pour ne pas passer notre temps en déplacement mais pas trop près non plus afin d’être dépaysés. Bref, c’est parfait. J’ai donc fait ma réservation sans savoir où elle se trouvera mais comme il n’y a qu’un train il me suffira de me déplacer dedans pour la retrouver. 

Les jours qui ont précédé le voyage ont été le théâtre d’une jolie joute d’image. C’était à celui de nous deux qui serait le plus suggestif pour l’autre et je dois reconnaître qu’elle est une adversaire redoutable entre ses photos, ses vidéos et ses vocaux. Je n’en attendais pas moins d’elle cela dit et je me suis efforcé de lui rendre la pareille. Avec succès si j’en crois ses réactions. 

Me voilà à présent sur le quai, un bagage à main léger avec moi vu que, si j’ai bien tout compris, nous ne passerons pas beaucoup de temps hors de la chambre qu’elle a réservée et dont elle tient à me faire la surprise. En revanche, je ne vois pas le moindre signe de sa présence et je commence à être un peu inquiet. Ce n’est pas son genre de se défiler et je me demande quand elle va se manifester. 

Mes inquiétudes connaissent leur fin lorsque je sens mon téléphone vibrer. C’est elle et l’image m’apprend qu’elle a déjà pris place dans le train alors qu’il n’est pas encore en gare. Je me demande un instant d’où elle vient mais cette pensée est vite chassée par la suite de ses messages. En effet, si elle se trouve déjà dans la place, je constate qu’elle y est sans culotte ni soutien-gorge et que tout semble immédiatement accessible. Elle doit être seule à son carré mais la perspective qu’elle ait pris ces photos à l’insu d’un innocent voisin me picote agréablement le ventre. J’aime son audace et son côté joueur. 

Voilà le TGV qui arrive, je monte, dépose ma petite valise et vais marquer mon territoire sur ma place avant de partir à sa recherche. Ou plutôt non, je lui propose de nous retrouver à la voiture bar. Un café sera un excellent préambule à ce voyage et nous pourrons fomenter de bien agréables projets autour d’une tasse. Je connais le club des 10000 pour les avions, j’ignore en revanche s’il a un équivalent pour les trains, mais je suis bien décidé à quelques amusements durant le trajet. 

Elle est montée dans le train, légèrement fébrile. Elle se sent belle pourtant, prête pour la séduction, pour tous les jeux de l’amour auxquels il voudra bien participer. 

Ses jambes sont gainées de bas noirs retenus par un porte-jarretelles rose poudré, et, à même la peau, une jupe patineuse évasée et un chemisier blanc . Ni culotte ni soutien-gorge.. Elle veut qu’il puisse avoir accès à elle sans franfreluches et autres guipures pour gêner ses futures voluptueuses introductions. 

Normalement, il doit attendre le train à la gare suivante. Ne la voyant pas arriver, Il doit se demander s’il elle ne va pas lui poser un lapin. En guise d’amimal, c’est sa chatte luisante quelle lui envoie, puis pour parfaire le tableau, une autre photo suit : ses tétons qui pointent sous le chemisier.

Ce n’ a pas été facile : dans son carré, la place d’en face est occupée par un homme,  heureusement (ou non) absorbé dans la lecture de son journal. 

Le train entre enfin en gare. Là, quelque part, Il monte. Le train reprend sa route. Elle se lève :  Il vient de lui proposer de le rejoindre à la voiture bar… Un café qu’elle compte bien aromatiser de quelques gouttes de son foutre…

Elle n’a pas réservé ce train au hasard : dans ces TGV, la circulation de fait dans les voitures hautes. Il n’ y a donc pas de passage dans les voitures basses : Juste 1 escalier d’accès. Son carré est à l’opposé…

Elle monte les escaliers qui la mène au compartiment bar . Derrière elle, son voisin de siège. Elle entend son souffle légèrement haletant : il ne doit pas perdre une miette du spectacle qui s’offre à lui. Elle l’imagine, les yeux rivés sur son intimité ainsi dévoilée, légèrement, déjà, à l’étroit dans son pantalon.

Elle ne se presse pas, lui laissant à penser  aux doigts qu’il pourrait glisser dans cette chaude et accueillante humidité. 

Enfin, la voiture bar. Il est là,  dans la file d’attente pour commander les cafés. Il la regarde à la dérobée… Ce regard ! Plein de malice et d’envie, de désir et de gourmandise. Elle s’approche de lui. Elle l’embrasse chastement à la commissure des lèvres, sa main, beaucoup plus impudique, vient presser sa queue sur le pantalon. Elle espère secrètement qu’il porte son boxer à dentelle ajouré.

Il commande deux cafés. Elle l’invite à redescendre dans son carré. Elle a, lui dit-elle , envie d’ un ingrédient pour sublimer la caféine, et la tablette de son petit espace sera parfait pour dissimuler la façon dont elle va s’y prendre pour l’obtenir.

Avant de reprendre l’escalier pour rejoindre sa place suivie cette fois par son Inconnu, elle lance un dernier regard dans la voiture bar. Un homme ne la quitte pas des yeux, elle croise son regard, il passe une langue gourmande sur ses lèvres : son voisin de siège, sans aucun doute.

La voilà enfin et le moins que je puisse dire c’est que je ne suis pas déçu du voyage car si sa tenue est sage en apparence, elle sait en jouer pour montrer là, au milieu de la voiture bar, qu’elle est disposée à jouer au plus vite. Je ne sais pas si d’autres personnes que moi ont pris conscience de son manège ou si j’en fus le seul témoin mais tout ceci m’a mis dans les meilleures dispositions pour la suite et je compte bien le lui prouver. 

Je crois finalement que je ne suis pas le seul car je croise le regard d’un homme au moment où nous descendons et le clin d’œil complice qu’il m’adresse vaut tous les discours. Être l’objet de ses fantasmes est plutôt excitant et je n’ai désormais qu’une envie c’est de réaliser tout ce à quoi pourrait penser ce type. Elle s’en est probablement rendu compte également car elle met son index sur ma bouche pour me faire taire au moment où je voulais lui en faire part et il a le goût de sa chatte tandis qu’elle me demande si j’ai envie d’être vu. 

Je comprends où elle veut en venir lorsqu’une voix masculine se fait entendre, nous priant de l’excuser car il veut rejoindre sa place. L’homme de la voiture bar s’avère être son voisin de carré et si, dans un autre contexte, la tâche se serait révélée ardue, il va au contraire se montrer un allié précieux. Nous posons donc nos cafés sur la tablette et, tandis qu’il fait mine de lire son journal, sa main à elle libère mon érection de mon pantalon et se met aussitôt à me branler. Elle a sa tête posée sur mon épaule et nous passons ainsi pour un couple sans histoire alors que, à peine hors de vue, ses doigts me griffent la hampe. 

Je manque de jouir sur le champ lorsque je passe ma main entre ses cuisses pour la caresser à mon tour. Non pas parce qu’elle est nue sous sa jupe, je le savais déjà, mais parce que la place est déjà prise. Les orteils du gars se pressent contre son sexe et je ne suis pas certain que le plus gros ne l’ait pas pénétrée tant le siège est mouillé entre ses jambes. Il ne se contente donc pas d’être voyeur et cette perspective me donne des pensées parfaitement inavouables de trio dont je ne manque pas de leur faire part, d’abord à elle puis à lui vu qu’il est bien plus que dans la confidence. Reste à savoir comment les réaliser et j’ai une petite idée à ce sujet. Reste à présent à savoir si elle est réalisable. Les toilettes du rez-de-chaussée de la rame sont suffisamment vastes pour nous accueillir tous les trois mais encore faut-il qu’elles soient disponibles, ce que j’ai l’intention de vérifier au plus vite. 

Elle est trempée : entre le sexe de l’inconnu dur sous ses doigts, et le le gros orteil inquisiteur de son voisin de siège dans sa chatte, elle ne sait plus où donner du plaisir. L’inconnu s’en est bien rendu compte, et lui propose ainsi qu’à leur nouveau complice , un petit jeu à trois dans les toilettes du train qu’il se propose d’inspecter. À cette évocation, une nouvelle giclée vient lui inonder les cuisses. Deux belles queues à sa disposition. Elle a furieusement envie d’être remplie par ces deux hommes.

La voie est apparemment libre puisqu’il leur fait signe de le rejoindre aux toilettes au fond du wagon. Un dernier coup d’oeil à la ronde, et elle s’engouffre avec eux dans l’espace confiné. D’autorité, elle s’assoit sur la lunette et leur demande de lui présenter leurs queues. Ils s’exécutent, leur braquemarts déjà au garde à vous. Elle leur intime de la regarder. Elle les empoigne et commence à les branler. L’espace est étroit et leurs glands frottent l’un contre l’autre. Leurs respirations se font un peu plus rapides.  Ce contact peau contre peau à l’air de leur plaire. Énormément… Elle approche sa langue, l’enroule autour des deux glands comme s’ils n’en formaient qu’un seul, énorme. 

Elle aspire ce nouvel instrument de plaisir, branlant de concert. Elle sent les mains des hommes dans ses cheveux, leur bassin bougeant en rythme, cherchant tous les deux à baiser sa bouche. Elle dégouline. Elle entend les mots crus des hommes, ça décuple son envie. Elle pourrait jouir là, avec ces queues dans la bouche et sous la main. Elle les pompe tour à tour, en branlant un pendant qu’elle happe l’autre. Maintenant, elle demande au nouveau complice de s’asseoir et, lui tournant le dos, elle s’empale sur lui. Il l’agrippe par les hanches et bouge avec elle. Il lui demande de recommencer à sucer l’inconnu. Elle s’exécute. Elle lui gobe les couilles, lui masse le scrotum, il lâche un grognement rauque de plaisir… Il a envie de la prendre à son tour. D’un clin d’œil entendu, l’autre homme lui laisse sa place. Mais c’est vers son cul que l’inconnu dirige sa queue. Elle est tellement mouillée qu’il la pénètre jusqu’à la garde sans difficulté. Elle roule son bassin pour le sentir jusqu’au fond de son cul. L’autre homme s’accroupit et vient la lécher , sa langue la pénétrant avec frénésie, sa bouche aspirant son clito. Elle jouit dans sa bouche alors que l’inconnu l’encule. L’autre homme vient l’embrasser à pleine bouche, lui partageant son goût. Puis, il l’attrape par la nuque et pénètre sauvagement sa chatte luisante. Elle va et vient le cul empalé sur la queue de l’inconnu alors que l’autre homme la pilonne. Elle va jouir, encore, sous les puissants coups de boutoirs.  La jouissance arrive, puissante, forte elle lui vrille les reins,elle ne peut pas s’empêcher de crier. L’homme prend alors l’Inconnu à partir : Et si elle nous buvait tous les deux, deux belles pintes de foutre ?

Elle reprend donc sa place initiale, suce frénétiquement l’homme qui ne met pas longtemps à lui gicler dans la bouche, sa queue immédiatement remplacée par celle de l’inconnu qui déverse aussi rapidement son jus au fond de  sa gorge. Leurs foutres lui dégouline sur le menton. Elle les embrasse goulûment l’un après l’autre, partageant avec eux salives et foutre mêlé. Quelques coups frappés à la porte les sortent de leur torpeur.

A la hâte, ils se rhabillent, s’essuient sommairement.

La tête haute, ils sortent l’un après l’autre des toilettes, sous les yeux médusés du contrôleur sans doute appelé par un voyageur qui s’étonnait du temps d’occupation disons… Inhabituel des lieux. Sans un mot, ils regagnent chacun leur place.

“Pire que des bêtes !”

“Il y a des hôtels pour ça, ils ne pouvaient pas attendre d’arriver ? “

“Deux mecs d’un coup ? Quelle traînée ! “

La rumeur a couru vite et les commentaires des autres voyageurs ne tardent pas à pleuvoir, nous n’avons pas dû être très discrets finalement, et nous préférons nous en amuser. Il reste cependant étonnant que ce soit elle qui porte à leurs yeux la plus grande part de responsabilité dans ce qui vient de se passer mais elle balaie ces remarques d’un revers de la main. 

“J’aime le plaisir sous toutes ses formes depuis l’adolescence, cela fait donc un moment et j’assume parfaitement d’être une salope. Vous constaterez cependant que personne n’est venu s’adresser à nous directement, je considère donc ces mots comme ils sont, c’est-à-dire rien. “

Notre carré pue le cul et la perspective que cela incommode les pisse-froid qui nous entourent est pour le moins réjouissante, d’autant plus qu’elle n’en a pas terminé avec nous. Nous sommes assis tous les deux face à elle, nous avons défait nos baguettes comme elle nous l’a demandé, et d’un pied elle rend la pareille à notre complice tandis que de l’autre elle s’attaque à ma queue. Ce faisant elle nous raconte avec le plus grand des naturels comme elle a aimé sentir nos deux queues se disputer l’espace entre ses jambes et nous remercie pour ce moment. 

“Ce n’est pas évident de trouver deux garçons qui soient capables de bien faire une double et, malgré un lieu pour le moins insolite, vous vous en êtes tirés comme des chefs.”

Nous lui retournons le compliment, une telle performance ne se fait qu’avec le talent des trois et elle a réussi à nous accueillir ensemble avec une facilité qui m’a étonné. Je ne devrais pourtant plus être surpris par elle, je sais ce dont elle est capable, mais chaque pas franchi est un nouvel émerveillement. Je pense également au sexe de l’autre type que j’ai senti contre le mien à travers sa chair à elle. Large, résolu et visiblement infatigable, il fait un peu plus vaciller mes convictions et j’en viens à me demander ce qu’on doit ressentir à empoigner un tel membre. Il a dû le deviner car sa main se pose sur la mienne et l’attire sur son entrejambe. Il bande déjà très convenablement et c’est tout naturellement que mes doigts trouvent leur place autour de cette grosse tige. La scène semble beaucoup l’amuser car elle sourit en nous regardant faire et, après avoir fait remarquer avec un certain humour que nous nous débrouillons très bien sans elle, elle nous demande de bien vouloir lui en laisser un peu. 

Ce serait en effet tentant mais nous n’en avons plus le temps et décidons donc de retourner à la voiture bar. Ce ne sera pas du café cette fois, nous avons envie de trinquer aux voyages qui, comme celui-ci, rapprochent les peuples avec quelque chose de plus festif. Elle en profite pour demander à notre nouvel ami s’il souhaite prolonger avec nous une fois le train en gare, ce qui est imminent. Il décline hélas son offre, il a des obligations auxquelles il ne peut se soustraire, mais nous laisse sa carte pour une prochaine fois et nous parle des spots qu’il connaît à notre destination, où nous trouverons certainement de quoi faire. Ça y est, nous sommes arrivés et nous l’embrassons tous les deux avant de le quitter. Le week-end ne fait que commencer et il se présente sous les meilleurs auspices. 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *