Sortie en amoureux

Ce soir, une fois n’est pas coutume, nous sortons en amoureux. Pierre m’emmène au Sweet Paradise, juste nous deux et nous prenons des bracelets rouges. Juste l’idée de ce qui pourrait se passer est excitante. Après les deux mois stressants  que nous venons de passer, il est temps de prendre du bon temps et de repousser un peu mes limites…

Le spectacle est drôle et corrosif, les filles sont superbes. Pierre, comme à son habitude, a capté leur attention et il a été copieusement caressé à de nombreuses reprises avec plus ou moins de retenue, pour son plus grand plaisir. Moi-même, j’ai dû simuler une fellation sur scène et je me suis bien prise au jeu, étant dans mon domaine de prédilection. Un peu provocatrice pendant ma démonstration, je ne me suis pas gênée pour regarder avec insistance des hommes dans le public. Je sais le pouvoir qu’à ce regard carnassier sur eux…

Nous sortons de la petite salle et prenons la direction du parking. Sur le chemin, Pierre m’attrape pour l’embrasser fougueusement. Il passe ses mains à l’intérieur de mon manteau et déboutonne ma robe laissant apparaître mon ensemble trois pièces : un soutien gorge pigeonnant rempli à raz bord de mes gros seins lourds et blancs, et dont les tétons roses et tendus viennent tendre le tissu transparent. Un porte-jarretelle serre-taille agrippe solidement mes bas noirs très haut sur la cuisse afin d’être très discrets pour un œil baladeur. La tenue se complète par un string ouvert qui ne cache rien de mon sexe glabre dont on distingue parfaitement la fente humide et brillante d’envie…

J’aime la sensation du froid sur mon ventre. Au lieu de me geler, cela me fait monter le sang aux joues : « m’enfin, si on croise quelqu’un !!! ».

Alors que j’allais refermer la robe, il m’arrête et me demande de la laisser ouverte sous mon manteau…Le coquin n’en a pas fini avec moi…

Sur le chemin de retour, à plusieurs reprises, il me colle contre lui, passe ses mains dans le manteau et vient, tour à tour, me titiller le bout des seins qu’il malaxe, mes fesses qu’il saisi, mon sexe qu’il caresse… mon clito qu’il masse tendrement… ses doigts explorent également avec délice mon calice, d’abord 1 doigt puis 2… 3 même me semble-t-il…j’adore ce petit jeu… je profite de ces rapprochements pour caresser l’énorme bosse bien visible de son pantalon… comme j’ai envie de caresser son sexe doux…alors que j’imagine la sensation de sa peau dans ma paume, il me pousse dans l’obscurité du renfoncement d’un porche… ses baisers sont plus appuyés, des caresses plus intenses… mes doigts n’en peuvent plus et zip…. La fermeture est baissée, le sexe triomphant jailli du pantalon… il m’attrape une jambe, la soulève et d’un coup rapide et sans hésitation me pénètre profondément. Je ne peux retenir un cri de plaisir autant que de surprise et d’excitation mêlée. Il est en train de me baiser dans la rue, à peine dans un petit coin sombre pour nous cacher… Des pas au loin se font entendre… je remets mon pied par terre alors que ma chatte trempée miaule encore d’envie…

Nous rions de la situation mais nos sourires sont empreints d’un désir que nous n’essayons même pas de feindre…

Les passants, deux hommes, nous dépassent en jetant un regard curieux et scrutateur. Des idées me passent par la tête et un regard vers Pierre me confirme qu’il a eu la même idée : « tu aimerais jouer avec eux ? ». « Arrête de dire n’importe quoi ! Pas deux hommes que je ne connais pas, pris au hasard ! »

Alors que je me prépare à leur emboîter le pas, direction le parking, Pierre me retient et m’entraîne vers la porte au fond du petit porche. A ma grande surprise, il tape un code sur le clavier et la porte s’ouvre. 

La soirée semble ne pas avoir livré toutes ses surprises !

Après avoir passé la petite cours intérieure, nous arrivons devant la porte d’un appartement. Pendant qu’il cherche le code sur son téléphone, je ressort sa queue de son pantalon et commence à la branler doucement, non sans me caresser de l’autre main… il agrippe un de mes seins et en dévore le mamelon… le manteau est complètement ouvert et ma peau blanche reflète la lumière de la lune…celui ou celle qui nous regardera par une des fenêtres surplombant la cours, n’aura aucun doute sur ce qu’il se passe devant cette porte… il finit malgré ma perturbation à ouvrir la porte et nous nous introduisons dans l’appartement. Un rapide coup d’œil dans le salon me confirme que je suis tombée dans un guet-apens : je vois posée au sol notre valisette de vêtement et surtout la valise avec tout les jouets… Il avait donc prévu son coup depuis un moment… hummm…Délicieuse idée ! M’aie avis que nous ne rentrons pas à la maison ce soir et que nous allons passer une délicieuse soirée en amoureux…

Les manteaux tombent ainsi que la robe, j’ouvre un peu sa chemise mais il ne se laisse pas faire…il me dirige vers le lit, m’allonge dessus et se jette,

affamé, sur ma chatte…d’abord un jeu doux avec mon clito… bientôt il lèche les lèvres se dirigeant vers ma caverne… la torture est succulente… je ne peux retenir un gémissement animal quand sa langue pénètre entre les deux lèvres… je dégouline déjà de plaisir … que c’est bon… j’ai envie de son sexe en moi !

Comme s’il avait entendu ma supplique, il lève la tête, remonte pour m’embrasser à pleine bouche et sa queue prend tout naturellement le chemin de mon intimité qu’elle remplit. Il ne retient pas du tout ses mouvements comme s’il ne cherchait pas à se contenir. L’idée qu’il puisse avoir envie se laisser ainsi aller en moi, vite, égoïstement, m’excite et je jouie sans aucune retenue : le plaisir est si intense que j’oublie tout, le lieu, le temps, les voisins… il arrête de bouger en moi, fouille dans la poche de son pantalon et en ressort notre petit masque qu’il porte à mon visage. « Tu me fais confiance ? ». « Bien sûr, les yeux fermés » dis-je en souriant.

Il me mets le masque sur les yeux et recommence ses allers et venues en moi, doucement cette fois-ci… privée de ma vue, mes autres sens sont plus sensibles à l’environnement et ma chatte toute trempée réagit immédiatement. J’aime écouter son souffle qui se met en rythme avec ses coups de reins et mes gémissements… mais un bruit de pas dans la pièce me sort de ma sérénité ! Je me raidit instantanément. Pierre le sent et, sans stopper ses allers-retours au creux de moi, me glisse à l’oreille « fais-moi confiance, profite». Je me focalise sur lui, son sexe en moi, la pression qu’il exerce sur mon clito gonflé de désir, le gland que je sens s’introduire et s’enfuir entre mes lèvres… et j’imagine que cette personne nous regarde. Pierre accélère le mouvement, je sens la brûlure du plaisir en moi qui monte encore une fois. 

Toujours en l’embrassant, il se dégage de mes cuisses alors que je ne souhaite que continuer. Entre deux baisers, il me redit « fais-moi confiance ». A cette instant, je sens un mouvement sur le lit, je sens la chaleur d’un corps lourd qui prend place entre les cuisses, puis sur moi et un sexe se présente à l’entrée de mon minou affamé.

« Est-ce que tu as envie que ce sexe prenne ma place et te pénètre ? »

OOUUIII… Bien sûr que j’en ai envie !!! Je lui fais un timide mouvement de tête comme pour quémander ma délivrance. Le sexe s’insère en moi pendant que Pierre repose ses lèvres sur moi. Ses mains me caressent. Ou si ce ne sont pas les siennes, c’est tout comme. Le sexe va et vient doucement, accélère, ralenti, reprend de plus belle… je n’ai même pas toucher cet homme,  non … je ne suis qu’avec Pierre et un autre sexe. Qui me fait du bien pendant que mon aimé m’embrasse, me câline, me donne aussi sa queue à sucer quand je la réclame…

La respiration du sexe devient haletante, il semble que ma gourmandise le dépasse un peu. Il se pose contre moi de l’autre côté et me caresse les seins pendant que ma bouche s’affaire toujours sur la queue de Pierre. Il se redresse, se met sur les genoux et présente sur mes lèvres sa tige ruisselante de mon plaisir.

C’est avec une surprise que je sens un autre corps prendre place entre mes cuisses et toquer à mon clito pour être inviter à entrer : un sourire sur mes lèvres vaut consentement et le sexe s’introduit en moi. 

Ma curiosité l’emporte et mes mains parcourent les corps attachés à ces sexes. Je ne les reconnaît pas, ni la texture de leur peaux, ni leur odeur…

Rien ne les distinguent… Mais les sexes l’un après l’autre s’activent pour le donner du plaisir, tantôt dans ma bouche, dans mes mains, entre mes seins, dans ma chatte et même dans mon fondement… 

Le temps ne s’écoule plus, il est figé dans cette bulle de plaisir. Et bien que je saches que deux autres hommes sont là, je ne fais l’amour qu’avec Pierre. Qui me fait du bien, me remplit de toute part, dilatant tout les orifices dans lesquels les sexes entrent et sortent sans plus aucune retenue, m’emmenant plusieurs fois à l’extase. Le lit est trempé, les souffles sont rapides, mes cris ne sont plus retenus… il n’y a plus que le plaisir à l’état brut… et l’Amour qui lie deux êtres dans la plus pure des fusions.

L’heure de l’agonie semble arrivée pour nos deux sexes et ils me font le plus beau cadeau en venant mourrir sur ma bouche qui reçoit le sperme chaud tel une offrande. Je me délecte de chaque goutte de cet élixir épicé et sucré…

Pierre me glisse à l’oreille « c’est ça que tu voulais ? » mais c’est une question rhétorique car il sait bien que le sperme est mon pêcher mignon…

Il me tend une serviette : j’essuie mon visage souillé et poisseux sur lequel, j’en suis sûre, une expression de plénitude doit se lire.

Il m’embrasse et vient se remette sur moi. Son sexe encore dur entre en moi. Il me fait l’amour comme si rien ne s’était passer, comme si les deux sexes n’étaient pas là… d’ailleurs je ne les entends plus. Ils sont probablement parti, leur contribution faite. Ils n’existent déjà plus pour moi comme s’ils n’avaient jamais été là. 

Je fais l’amour avec l’homme que j’aime et je profite pleinement de cette délicieuse nuit en amoureux…