La première journée de la rentrée forte en émotions se termine.
Luc est dans ses quartiers. Au Triolet, dans une chambre universitaire de neuf mètres carrés. Une chambre de cité U. Ch12, Bâtiment I, au rez-de-chaussée.
Il vient de prendre une bonne douche bouillante. Il pose sa serviette à côté du lavabo pour la faire sécher. La chambre est certes petite, mais ça lui suffit. Il n’a jamais eu besoin de plus. Neuf mètres carrés pour y caser un lit de quatre-vingt-dix, une table, une chaise, une armoire, un coin lavabo. Au-dessus du lit il y a trois étagères où il a entassé ses livres, ses romans. En face, il a posé sur un stand, sa guitare acoustique. Et voilà le tour du proprio. Minimaliste.
Dans ce bâtiment I, sur le palier, on compte trois fois sept chambres. Six toilettes, six douches et une kitchenette de cinq mètres carrés. Dans chaque bâtiment de la Cité, il y a quatre paliers. Les paliers sont reliés par un escalier en colimaçon au centre du bâtiment.
L’avantage n’est pas le bâtiment. L’avantage d’être ici se trouve plutôt dans ses occupants. Un détail qui n’a pas échappé à notre Luc.
La cité universitaire est mixte, ça change totalement la donne. Ceci, par rapport à ce qu’il a vécu à l’internat du lycée.
Il y a une semaine, il est arrivé pour repérer les lieux, le restaurant universitaire, le supermarché le plus proche. Il n’a pas pris le temps de croiser un regard féminin. Une jolie fille. « Une coquine » comme il aime les appeler. Il s’est plutôt focalisé sur son installation. Il n’a pas pris peur face au changement de vie. Le fait d’être totalement autonome. Au contraire. Il était impatient d’y être. De prendre ses marques. Et de savourer enfin cette liberté. Il déambule nu dans son neuf mètre carré.
Il déverrouille son téléphone. Choisi un album dans sa playlist. Un album de U2 fera l’affaire. Un très bon U2. Il enclenche sa petite enceinte Bluetooth. — Ça ! c’est de la bonne musique. Il se permet quelques pas de danse.
Il regarde par la fenêtre. Il y a un bâtiment juste en face. Les balcons du bâtiment H. il n’y a personne mais, il ferme légèrement le rideau pour éviter le vis-à-vis. Il se laisse tomber sur le lit comme une masse. Sur le dos, une main sous sa tête. De l’autre, il caresse son sexe. Il se sent bien frais après une douche. Avec le bout de ses doigts, tout en effleurant sa peau. Il part du frein de son gland pour descendre doucement jusqu’à la base de sa verge. Il recommence une deuxième fois, encore plus lentement. Il écarte légèrement ses jambes. Son sexe commence à grossir. Il ferme les yeux. Son gland n’a pas trainé : il est déjà gonflé de sang. Il attrape délicatement ses testicules pour les tirer fermement vers le bas. Cela provoque l’étirement de sa verge vers le haut.
Il repense au visage d’ange de Lola. Il la trouve vraiment mignonne. Elle lui souriait. Il lui rendait en un baiser sur sa main. Ils se sont quittés juste après l’infirmerie et ne se sont pas revus de la journée. Seulement par sms pour lui dire qu’il y a beaucoup de monde et que les files d’attentes pour s’inscrire sont interminables. Il était dans le même cas. Il devait s’inscrire à des TP, comme bandes-dessiné, anglais.
Il se remet en tête la situation de ce matin, dans l’infirmerie. Son gland dans sa bouche accueillante et chaude. Sa langue, sa chaleur, son aspiration, sa puissante aspiration.
C’était la première fois qu’une fille lui prodiguait une fellation. D’autant plus troublant, faite par une fille formidable, gentille, adorable mais qui ne sera jamais amoureuse de lui.
Il sert sa verge fortement dans sa main, il tire la peau vers sa base. Son gland devient violacé prêt à exploser…
« Brrrr ! Brrrr ! Brrrr! »
Bono arrête de chanter. Luc sursaute. Le téléphone posé sur la table vibre. Il se lève d’un coup. — Et si c’était Lola ? se demande-t-il.
Il s’empresse de tapoter sur son téléphone, tout tremblant.
Il lit le nom du numéro enregistré :
« Bilitis »
Il décroche.
— Salut… Bilitis.
— Salut, je ne te dérange pas ?
— Euh ! Non, non, pas du tout.
— Je peux passer te voir ?
— Euh, et ben, oui… Oui, bien sûr si tu veux. Quand ?
— Ben, maintenant ?
— Maintenant ? Ok, bien sûr. Où-es-tu ?
— Devant ta porte, rit-elle contente de sa surprise.
Devant ma porte ? mais comment connait-elle ma chambre ? … putain ! je suis bête. Elle est l’infirmière de la fac, se dit-il.
Il attrape sa serviette éponge de bain et la passe autour de la taille. Il regarde par le judas de la porte. C’est bien elle. Il ouvre sa porte.
— Salut Luc, dit-elle. J’ai de la chance. J’arrive au bon moment.
— Oui, si tu veux, rit-il de son humour. Entre donc.
Elle lui fait un grand sourire. Elle s’approche. Elle le regarde droit dans les yeux. Elle pose sa main sur son épaule et lui dépose un baiser sur la bouche. Il lui rend se doux frôlement de lèvre.
Luc se parle intérieurement : Mais qu’ai-je fait aux anges pour que les planètes soient autant alignées aujourd’hui ? Décidément, un baiser de Lola, un baiser de Bilitis. Toutes deux d’une même douceur érotique. J’adore les coquines de Montpellier.
Il la regarde pénétrer à petit pas dans sa petite chambre. Un sac à dos à la main, Elle porte un corsaire de sport bleu clair. Qui lui va plutôt très bien. Des baskets de running rose. Et un top à brassière assortie qui laisse ses reins nus. Il sent déjà sa verge reprendre doucement de la vigueur.
— Je suis avec lui ma chérie, dit Bilitis à voix basse.
— Hein ? que dis-tu ? … Oups ! pardon, tu es au téléphone, s’excuse-t-il.
Il remarque les écouteurs Bluetooth sur ses oreilles. Elle est en communication avec quelqu’un. Il referme la porte.
— Tu veux que je te le passes ? Continue-t-elle à voix basse. Il est carrément beau, juste une serviette autour de la taille…
Il n’entend pas la conversation téléphonique de la jeune fille, pour ne pas faire l’indiscret. Il remet en route sa musique sur son portable en fond d’ambiance.
Il regarde dans son réfrigérateur. Il attrape une bouteille de jus d’orange. Récupère deux verres sur l’étagère. Les remplit et les pose sur sa table. Elle est de dos vers la porte d’entrée.
Il s’assoit sur sa table à côté des deux verres de jus. Il profite de la regarder. Son corsaire lui galbe à merveille ses fesses bien rondes, bien cambrées à souhait. Il se dit qu’il a un regard de pervers, mais soit, il va assumer cette fois de plus.
Il ne voit pas les coutures d’une possible culotte… elle ne doit pas en porter ! pense-t-il. Magnifique ! Son sac à dos au bras, elle gesticule. La scène et magique. Il se focalise sur les mouvements de ses mollets, de ses cuisses, de son corsaire épousant l’arrondi de ce corps de femme. Son dos est musclé. Elle s’est fait une couette bien haute. Cela laisse son long cou dégagé. Elle est belle. Elle doit pratiquer du sport en voyant ce corps énergique.
Il boit une gorgée de jus. Il se sent bien. Excité serait le mot approprié.
Elle se retourne. Elle le remarque bouleversé. Sa tenue de sport le rend fébrile. Elle profite de cet instant suspendu.
Un détaille ne lui échappe plus : Sa poitrine. Il l’avait occulté jusqu’à présent pour il ne sait plus quelles raisons. Peut-être qu’il voulait se montrer gentlemen, et pas un de ces gros salaces, vicieux et malsain qui saute sur toutes celles qui s’habillent de façon à mettre en valeur leurs atouts. Mais il n’arrive pas à cacher son envoutante obsession, son vice. La gent féminine l’attire comme un pôle plus d’un aimant et un pôle moins d’un autre aimant. Elle le sait. Elle voit dans son regard qu’elle a bien fait de mettre ce top. Alors elle profite de sa faiblesse, de son hébétude. Il ne peut résister à décrire ce qu’il voit : Son haut bleu ciel maintien des seins en hauteur. Des seins beaucoup plus gros que Lola. Bien ronds, bien lourds. Une poitrine conquérante. Ses tétons pointus à travers le tissu affirment sa féminité.
De l’autre côté, Bilitis remarque la petite bosse sous la serviette.
— Un jus d’orange ? propose-il en tendant un verre à Bilitis.
— Oui, je veux bien, j’ai chaud. Dit-elle en posant son sac contre le mur.
— Tu as raison il fait encore chaud à cette heure-ci.
— Humm, j’avais soif, dit-elle après avoir bu une bonne gorgé.
— Fais-tu du sport ?
— Oui, j’adore le sport. Je cours, je fais du vélo, de la natation et de la gym chez moi. J’adore les sensations que procurent les activités physiques. Les endorphines me font un bien fou. J’adore transpirer. A un moment donné, je suis toute mouillée de sueur, et là je jubile. C’est de l’ordre du bonheur. Tu vois ?
— Oui, je peux comprendre. Tu me donne soudain envie d’en refaire.
— Pourquoi n’en fais-tu plus ?
— La flemme.
— Tu as pourtant un corps musclé.
— Tu veux me flatter !
— Non, je t’assure. Mais si tu veux, j’ai une station de musculation chez moi. Elle était à mon père. Tu pourras venir en faire si tu veux. J’en fait également un peu, je n’utilise que les petits poids.
— Avec plaisir, c’est très gentil. Samedi, je l’essayerai.
— Quand tu veux. Elle est d’accord aussi.
— Qui ?
— Lola est aussi d’accord d’essayer ma station de musculation. Je suis toujours en communication avec elle. Regarde !
Elle enlève un écouteur Bluetooth de son oreille pour lui montrer.
— Tiens prends les deux, elle veut te parler.
Il glisse les deux écouteurs à ses oreilles. Elle l’aide un peu. Elle profite de la situation pour frôler les peaux du beau garçon. Une fois bien mis, Elle va s’assoir sur le bord du lit, jambe croisée, sirotant son jus de fruit.
— Lola ?
— Coucou mon chéri. J’ai pensé à toi, à ton corps toute l’après-midi. C’est moi qui ai demandé à Bilitis de venir te voir. Elle est vraiment une gentille fille. Je ne pensais pas tomber amoureuse aussi vite. Elle est tout comme j’aime. J’ai craqué. Comment la trouves-tu ?
— Je pense comme toi. Elle est très jolie, sourit Luc à Bilitis avec un clin d’œil. Puis il reprend : Mais où es-tu ? derrière la porte de ma chambre ?
— Non, je suis chez moi, à la Colombière. Je me suis mise toute nue sur mon lit. La fenêtre ouverte, le rideau ouvert. Le soleil du soir entre directement dans toute la pièce. Il me chauffe le corps. Ses rayons me brulent la peau. J’adore cette sensation de m’offrir aux rayons du soleil. Ils me caressent. Alors j’écarte mes jambes pour leur donner en retour ma petite chatte encore fermée. C’est bon, j’aime ça. J’écarte encore plus, progressivement, en relevant mes genoux. J’arrive à faire toucher mes talons avec mes fesses. Je garde la position grâce à mes mains qui tiennent mes chevilles. Cette position ouvre mon sexe, ma grotte reçoit la chaleur brulante du soleil… je me cambre. Offerte aux Dieux… humm ! c’est divin… Bandes-tu mon chéri ?
— Oui.
— Oui, Quoi ? demande-elle avec douceur, comme un chuchotement.
— Oui, je bande !
— Dis-le plus fort pour qu’elle puisse t’entendre le dire.
Il hésite un instant. Il réalise le jeu. Il se surprend d’accepter la perversion des deux femmes.
— Oui, je bande !
Bilitis a bien entendu. Elle regarde la déformation de la serviette. Le sexe est bien en érection. Ses yeux brillent, elle passe sa langue sur ses lèvres. Elle l’imagine telle une gourmandise. Elle croise son regard. Elle lui fait un signe de la tête pour lui montrer l’objet de son désir. Elle attend la suite. Luc frissonne.
— J’adore quand ton sexe devient bien dur… Comment est installée Bilitis ? continue Lola.
— Elle est assise sur mon lit.
Bilitis tend l’oreille. On parle d’elle.
— Mais encore ? comment se tient-elle ? comment est-elle habillée ? est-elle maquillée ? sourit-elle ou est-elle triste ? dis-moi comment l’as trouves-tu ? J’ai envie que tu me le dises. Que tu me fasses languir d’elle. Que tu me la décrives. Je me caresse pendant que tu me parles d’elle.
— Elle est assise sur le bord de mon lit. Elle me regarde parce-que nous parlons d’elle. Elle me regarde avec son regard mutin. Prête à désobéir. Ses pommettes sont toutes rouge. Elle me sourit. Elle a deux petites fossettes de chaque côté de sa bouche. Elle est très mignonne. Elle porte des habits de sport. Bleu clair. Sa généreuse poitrine se maintient par un top bleu. Son échancre laisse déborder ses seins. Ils ont l’air d’être à l’étroit, ils voudraient sortir, se libérer des contraintes.
— Dis-lui de le retirer !
— Bilitis ! Ta poitrine souffre d’être enclavée. Tu peux les délivrer. Nous sommes entre nous. Regarde je suis également torse nu.
— L’enlève-t-elle ?
— Oui, elle le retir.
— Oh la la ! Merci, ta description m’excite. Continue. Je me pince les tétons en écoutant ta voix chaude… Enlève ta serviette, finit-elle par dire.
Luc et Bilitis s’agacent. Porter par ce manège dirigé par Lola, ils s’impatientent. Lentement, il fait glisser sa serviette sur le côté dévoilant sa verge dressée.
Elle admire ce phallus décalotté. Il est en suspend dans les airs. Le méat est déjà luisant. Une goutte transparente l’humidifie. Elle décroise ses jambes. Elle les écarte légèrement et met ses doigts au niveau de son sexe.
— Elle vient de décroiser ses jambes. Elle porte un legging court de sport. Un corsaire bleu clair. Elle a glissé une main entre ses jambes. Elle les écarte. Ses doigts au niveau de son clitoris caressent le tissu. Elle regarde mon sexe dressé. Elle ne le quitte plus des yeux. Le tissu de son legging épouse délicatement les renflements de son minou. Elle ne porte pas de culotte. Elle est belle. Je bande encore plus fort.
— Ne touche pas ton sexe s’il te plait. Continue encore. Je mouille. Je sens ma cyprine s’écouler de ma grotte.
— Elle se recule pour poser son dos contre le mur. Elle enlève ses baskets. Ses chaussettes. Elle relève ses genoux, écarte ses jambes. Elle reprend les caresses de son petit bouton…Le tissus se mouille au niveau de sa vulve. C’est délicieux de la voir ainsi… Elle fixe mon sexe, gros et turgescent. Sa langue mouille ses lèvres. Elle finit par enlever son legging. Elle me regarde avec envie. Ses yeux brillent. Elle est entièrement nue. Ses seins sont magnifiques, voluptueux. Ses auréoles foncées, larges colorent sa peau mate. Ses tétons dressés signent le désir. Elle caresse délicatement un sein, passant sur son téton érectile. Elle descend lentement sa main sur son ventre. Son sexe est intégralement épilé. Elle a une vulve bombée. J’ai envie de la lécher, la taquiner. Elle est belle. Elle est très belle. Elle est la soif, la tentation, le désir et l’envie. Avec deux doigts, elle écarte le capuchon de son clitoris. Consciencieusement. Elle prend la pose. Pour me montrer son bouton huileux. Il est rose, onctueux, comme la rosée du matin sur l’herbe. J’ai envie de le laper, de le lécher, de le titiller du bout de ma langue. De l’embrasser. Elle se cambre. Doucement, deux doigts pénètrent sa chatte, sa grotte semble ardente, humide. Elle gémit en me regardant. Je vois son minou trempé. Elle me sollicite. Sa petite chatte miaule, espère Lola…
— Humm ! c’est bon mon amour. Moi aussi j’ai mis deux doigts dans mon minou. Je fais des va-et-vient. Humm ! profondément… Luc ! tu ne la prends pas s’il te plait. Pas ce soir. Je veux la faire jouir la première. Je l’aime, tu comprends ?
— Oui !
— Je voudrais juste que tu te donnes dans sa bouche. Elle m’a dit qu’elle voulait ta semence. Tu veux bien ?
— Oui !
— Lève-toi et donne lui ton sexe magnifique… raconte-moi comme elle est belle. Je t’aime.
— Moi aussi…
Il se lève. Son sexe au garde-à-vous.
— Elle ne quitte pas des yeux ma bite. Je suis ravi que ce soit l’objet de sa visite, de son désir, de son envie. Elle le veut. Je m’approche. Je monte debout sur le lit. Ses joues sont rouges. C’est l’émotion du plaisir, de l’érotisme. Elle attrape mon manche d’une main, une petite main. Ses doigts sont tout aussi fins. Elle enserre ma bite de ses phalanges. Le geste est extrêmement doux, mesuré. Elle tire sur la peau de ma bite pour la bander plus fort. Mon gland est gonflé au plus haut point. Elle l’admire, le scrute. Elle se met à genoux pour plus d’aisance. Avec son autre main, elle caresse mes testicules, c’est…
— C’est quoi ? s’impatiente Lola…
— C’est divin… aah ! Elle … Elle me pompe goulument elle me suce… éner… énergiquement… C’est bon ! Elle enfonce ma bite au plus profond de sa gorge. Elle est belle. Mon sexe m’inonde de sa salive. C’est divin. Elle est belle si tu savais. Je l’aime. Aah ! je vais jouir…
— j’entends ses sucions, j’adore, je vais jouir aussi… Aah !
Bilitis s’arrête un instant. Et dit sans aucune retenue.
— Crache-moi dans la bouche. Je veux ton sperme.
— Ma bite est reprise avec acharnement. Plus fortement, plus sauvagement. Elle aspire avec force mon gland. Je sens sa langue tourner autour. Aaaah !… Elle… Elle titille mon méat… C’est trop bon. J’en peux plus Lola. Je retiens de toute mes forces mon éjaculation… je… je ne tiendrais… plus longtemps. Elle aime ça. Elle adore sucer… Elle lèche ma hampe et la reprend en bouche. Ses mains sur mes fesses, les serrent fort. Ma verge entre plus profondément dans sa gorge. Des coulés de bave tombent sur ses seins. J’en… j’en peux plus…
— Vas-y ! tout ton foutre au fond de ma gorge. Etouffe moi.
— Aaaah ! j’arriiive !
— Ouiii ! miaule Lola.
Lola jouit avec force. Elle s’abandonne. La source de son plaisir intense est propulsée de son entrejambe par saccade. Ses doigts reviennent au plus profond de ses entrailles. Son autre main sur son bouton d’amour. Des larmes de bonheur coulent sur ses joues.
Des vagues de sperme explose dans la gorge de Bilitis. Elle peine à déglutir. A la limite de l’asphyxie. Son corps frêle s’emballe et l’emporte brutalement dans un abandon voluptueux.
Luc est traversé par de multiples spasmes. Bilitis aspire encore et encore son gland. Il s’arcboute. Il se surprend de repartir une deuxième fois. Il se tient au mur pour ne pas tomber. Il éjacule encore une fois sa précieuse semence. Il se raidit de tout son corps. Il expulse tout son être en elle. Il jouit…
Luc est heureux…
Il donne tout à Bilitis.
Il donne tout à Lola.
