L’apéritif (2)

Ils ne sont pas avares en médias de tout genre mais je dois reconnaître que la dernière vidéo qu’ils m’ont envoyée à de quoi faire réfléchir. Que dire en effet lorsqu’on voit Monsieur prendre Madame en levrette tandis qu’il fait aller et venir un godemiché entre ses fesses ? Que dire de plus lorsque c’est accompagné d’un “elle n’attend plus que toi… “ sans la moindre équivoque ? Je sais donc plus ou moins à quoi m’attendre quand ils m’invitent à un “apéritif prolongé” quelques jours plus tard. Il n’en demeure pas moins que, n’ayant jamais pratiqué, je me demande si ce rendez-vous sera à la hauteur de leurs attentes.

Me voilà à leur porte le jour J. C’est elle qui m’ouvre, avec une nuisette rouge ouverte sur les seins comme tout vêtement. Ils ont dû commencer sans moi car elle sent déjà le sexe et il me semble que ses lèvres du bas sont déjà gorgées de sang. cela promet. Je la touche tandis que nous nous embrassons et l’humidité que je ressens sur mes doigts me confirme cette impression : ils en sont au moins aux préliminaires. Le fait qu’il soit déjà nu sur le canapé en train de se caresser est donc anecdotique. Nous allons directement entrer dans le vif du sujet et nous ne boirons qu’ensuite. Je me mets donc rapidement à l’aise et le rejoins afin qu’elle puisse s’occuper de nous deux simultanément. Ce dont elle ne se prive pas. Agenouillée devant nous, elle suce celui qu’elle ne branle pas et passe sans la moindre difficulté de la grosse queue de son mari à la mienne dont les dimensions sont plus raisonnables, et ce jusqu’à ce que nous soyons tous les deux tendus à l’extrême.

Elle nous tient donc dans chacune de ses mains et semble juger de comment les choses vont évoluer. Elle finit par choisir de s’empaler sur moi et, après que je lui ai abondamment lubrifié le petit trou à l’aide du gel qui se trouvait sur la table, s’assied sur moi et me fait disparaître dans son cul jusqu’à la garde. Le scénario ne change pas par rapport à la dernière fois, du moins au début. Il vient lui lécher goulument la chatte , ce qui la fait miauler de plaisir tandis qu’elle monte et descend le long de ma tige. Là où les choses évoluent c’est lorsqu’il se redresse et vient se placer entre les jambes de sa femme. Je le sens tout d’abord faire coulisser sa bite le long de sa fente. Son sexe, si proche du mien, me donne un léger vertige. Et puis, il reste si peu de place, comment va-t-il faire ? Je le vois manoeuvrer tant et si bien qu’il glisse son gland entre les nymphes de son amoureuse et cette pression se répercute sur moi. Je suis immobile, de toute façon le fait qu’elle pèse sur moi de tout son poids m’interdit tout mouvement mais j’ai l’impression que c’est lui qui me branle désormais à travers la fine paroi de chair qui nous sépare alors qu’il achève de la pénétrer.

La suite ? Il va et vient en elle très doucement dans un premier temps et je me contente d’être présent dans son œillet. Puis, peu à peu, son corps se met en mouvement et elle se pénètre alternativement sur chacun de nous deux, ayant pris la mesure des deux chibres qui la remplissent et coulissent l’un contre l’autre en elle. J’ai peur un moment qu’ils ne m’éjectent mais elle affermit sa prise sur moi et je demeure le prisonnier consentant de son cul. Elle souffle et gémit. elle nous sent tellement tous les deux. J’ai mes mains sur ses hanches, sa nuque contre ma bouche, et je la lui mords tandis qu’il l’embrasse. Elle se met alors à couler et je me retrouve les cuisses  trempées de son jus. Le nôtre, nous n’allons pas tarder à le perdre également. Il se retire donc et elle se redresse avant de s’asseoir sur le canapé. Nous lui faisons alors face, effectuant de rapides mouvements de poignets sur nos tiges avant de tout lâcher. Nous lui aspergeons les seins de grandes giclées de foutre qu’elle accueille avec un sourire extatique avant de nous remercier.

“Vous m’avez bien défoncée les garçons , c’était un truc incroyable de vous avoir tous les deux en moi. J’ai joui fort, vous avez vu?”

Il y a en effet une large tache humide sur le canapé, qu’elle nous désigne du doigt.

“Heureusement que nous avons choisi le tissu en fonction de nos coquineries…”

Nous rions tous les trois avant qu’il ne disparaisse dans la cuisine chercher de quoi nous remettre. Nous trinquons ensuite à cette nouvelle expérience qui, selon leur dires, en amènera d’autres. Elle veut en effet dans un premier temps que son mari et moi intervertissions nos rôles pour ensuite, pourquoi pas, convier un quatrième larron afin qu’elle soit investie de toutes parts 

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