Petite escapade du week-end : je profite d’un moment de liberté pour aller faire un tour au bord du lac qui se trouve non loin de chez moi. Un drap de bain, une bouteille d’eau, un bouquin, mes écouteurs et c’est parti pour un bon bol d’air. Je connais bien l’endroit en plus et je sais où aller pour ne pas me laisser envahir par les autres promeneurs.
Voire plus car le livre que j’ai emporté ne se lit que d’une main et j’ai très vite chaud, au point de me déshabiller complètement et de m’offrir aux caresses du soleil tandis que je joue avec mon sexe du bout de mes doigts. Il fait doux, c’est agréable et me faire du bien dans la nature est quelque chose que j’adore
Je n’ai pas le temps de me couvrir lorsqu’un type fait son apparition dans ce coin que je croyais être là seule à connaître. Juste de mettre mon bras à travers de mes seins. Je n’ai même pas la présence d’esprit de cacher mon entrejambe et c’est très vite vers là que se pose le regard de l’homme.
Il ne dit rien, ne bouge pas, mais son langage corporel fait le reste et je dois avouer que cela n’est pas des plus déplaisant. Une grosse bosse déforme sa braguette et savoir que j’en suis l’origine est plutôt flatteur. Je lui souris donc et l’invite à me rejoindre. Après tout, un peu de compagnie ne sera pas du luxe vu l’état d’excitation dans lequel je me trouvais quand il est arrivé.
Il se laisse faire, un peu gêné, quand je défais sa ceinture et sa braguette, et je comprends vite pourquoi en voyant ce qu’il a dans le caleçon. Monsieur est en effet particulièrement gâté par la nature et se prendre un tel morceau n’est pas à la portée de la première venue.
Ça ne me fait pas peur à moi, j’en ai vu d’autres, et je le lui prouve en le prenant dans ma bouche, d’abord juste son gros gland, puis tout ce que je peux avant de l’avoir au fond de la gorge. Je le suce ainsi un petit moment et l’entendre gémir me fait monter un peu plus.
Je le fais donc s’allonger sur ma serviette et, après l’avoir enjambé, je m’empale doucement sur sa queue. Elle me remplit bien tandis que je me baise sur lui a mon rythme jusqu’à jouir une première fois. Il me vient ensuite l’idée folle de l’avoir dans le cul. Il tout est tout de même vraiment gros et c’est un défi dont j’ai envie.
Pas de lubrifiant ? Je peux détourner l’usage de mon pot de graisse à traire. Ce ne sera pas pour bronzer mais je pense que ça sera pas mal non plus. Sitôt dit, sitôt fait, je lui tartine le gland et la tige avant de m’en oindre le petit trou. Le reste n’est que désir et concentration. Je descends centimètre par centimètre sur ce formidable pieu qui me distend et Dieu que c’est bon.
Une fois bien emmanchée, je monte et descends tout doucement le long de cette formidable colonne qui semble infatigable. Et comme l’esprit vient à ce garçon au fur et à mesure que mon plaisir monte, il me finit en me basculant à quatre pattes et en me prenant en levrette. Je coule, je crie, j’ai complètement oublié où j’étais et je ne pense plus qu’à cette grosse bite qui me perfore les entrailles.
J’ai encore joui deux fois lorsqu’il se retire de mon cul et vient se positionner à l’aplomb de ma poitrine. Il ne lui faut ensuite que quelques secondes pour qu’il me m’arrose de son foutre. Et non seulement il l’a grosse mais il semble inépuisable dans son éjaculation, ce qui finit de me rendre dingue.
Toujours sans dire un mot, l’homme se rhabille et disparaît, me laissant couverte de sa semence et comblée comme rarement. Je suis un peu KO après cette séance de baise et je prends le temps de redescendre avant d’aller prendre un bon bain, histoire de me rincer. Je me suis vraiment éclatée avec cet inconnu et mon chéri va kiffer lorsque je lui raconterai tout.