Avec mon chéri nous avons décidé de fuir les frimas de la Capitale et de nous octroyer un week-end dans le sud. Nous joignons l’utile à l’agréable car non seulement nous allons pouvoir bénéficier de conditions météorologiques plus clémentes mais aussi nous allons rencontrer des gens avec qui nous échangeons depuis un moment. Nous avons donc fait nos valises, lui très simplement avec des chemises et des chinos, moi plus difficilement tant il ne fait rien qu’à venir me troubler dès que je sors une pièce un peu olé olé de mon dressing, qu’il me demande de passer pour des photos qui ne deviennent plus que des prétextes une fois qu’il a posé les mains sur moi pour mon plus grand plaisir.

Passées ces péripéties, nous voici à la gare, nos valises à la main et bien décidés à profiter au maximum de cette escapade. Je le trouve élégant avec sa veste cardigan grise, je suis quant à moi légèrement provocante en robe pull courte, collants à résille et baskets. Et encore, si les gens qui me reluquent savaient que ledit collant est fendu à l’entrejambe et que je ne porte aucun autre dessous, ils auraient une raison supplémentaire d’arborer les mines de loup de Tex Avery que je leur vois déjà. Quoi qu’il en soit, tous ces regards me donnent chaud, ce dont je fais part à mon homme et qui le ravit. Cela promet pour la suite.

Il a fait les choses bien, nous voyageons en première classe et dans un coin sans vis à vis. Tant mieux, nous allons pouvoir nous chauffer gentiment sans trop risquer les foudres des autres passagers et je dois dire que j’en ai bien envie. C’est pourquoi je nous couvre de mon étole afin d’avoir les mains libres d’explorer où bon nous semble à l’abri des regards. Il ne nous faut d’ailleurs pas attendre très longtemps, Que notre TGV se mette en route en fait, pour commencer. J’ai défait sa braguette et ai désormais sa belle queue dans la main, à qui je donne une belle érection , tandis qu’il est passé sous ma robe et qu’il me caresse la fente avec tout le talent que je lui connais et qui me fait mouiller à coup sûr.

Nous nous amuseons donc comme des petits fous lorsque le contrôleur fait son apparition dans notre voiture. Nous essayons de reprendre une allure plus conforme à celle de tranquilles voyageurs quand il arrive à notre hauteur mais c’est peine perdue. Je suis rouge et un peu échevelée, et il y a une grosse bosse qui déforme le tissu qui nous couvre les jambes. L’agent de la SNCF a dû en voir d’autres mais il n’est visiblement pas blasé car il nous adresse un sourire entendu au moment de vérifier nos titres de transport et se permet même une remarque à demi-mots sur tous les transports que l’on peut avoir en train tout en  regrettant l’époque révolue où il pouvait poinçonner.

J’interroge mon chéri du regard. il me répond par un clin d’oeil qui veut tout dire et je tends la main vers le contrôleur en lui disant d’une voix sourde qu’il est tout à fait possible de s’arranger. Le pauvre homme rougit, surtout lorsque j’ajoute que, par nostalgie, il a certainement son bel outil dans la poche et que j’effleure son paquet du bout des doigts. Mais il ne se démonte pas et il avance même d’un pas pour me faciliter la tâche.

Sortir sa queue de son pantalon ne me prend pas beaucoup de temps, le faire bander guère plus, et il est tellement excité qu’il ne tarde pas à me dire qu’il va tout me donner. J’approche alors son gland de mes lèvres et le gobe au moment où il ouvre les vannes. De fortes giclées de foutre m’emplissent la bouche, que je garde entre les joues avant de l’inviter à se pencher pour m’embrasser sous le regard amusé de mon chéri. Le contrôleur ne se fait alors pas prier pour recueillir sa semence sur ma langue. 

Il nous remercie ensuite chaleureusement avant de partir, un grand sourire sur le visage. Personne dans la voiture ne semble avoir remarqué notre manège tant les gens sont absorbés par la contemplation de leurs écrans. J’ai encore son goût dans la bouche et j’en fait profiter mon mari complice en lui roulant une pelle magistrale. Ce week-end commence décidément très bien et je n’ai qu’une hâte, continuer sur ma lancée. Monsieur acquiesce et me dit qu’il m’aime tellement lorsque je suis ainsi. C’est entre autres pour cela que je suis si bien avec lui.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *