J’ai découvert autour de ce groupe FB, un homme qui savait mettre un certain émoi en moi, au travers de ses écrits.
Je me suis empressé de partager ma découverte avec Lilou qui aura à plusieurs reprises humidifié son entre cuisse lors de nos lectures communes collés l’un à l’autre.
Ne voulant pas déranger cet auteur, je ne faisais que lui envoyer des likes, jusqu’au jour où, suite à une remarque que j’avais osée, une demande d’ami et un MP fut lancé.
Nous nous sommes d’abord félicités tous deux sur nos écrits respectifs.
Et plus nous avancions dans notre échange et plus ces mots résonnaient dans ma tête, je sentais mon esprit fuir vers le désir.
Un matin, ouvrant le mur du réseau, je vois un post où l’homme est en photo visage découvert, je l’apprécie, le détaille, je n’ai qu’une hâte partager ma découverte avec ma belle.
Le soir venu je lui ai fait voir mon smartphone, nul besoin de commentaire. Je lis dans ses yeux et sur ses lèvres la gourmandise et l’intérêt de l’inavouable.
Une idée me traverse l’esprit, pourquoi ne pas écrire cela pour lui faire comprendre.
Mais c’est un redoutable écrivain, comment ne pas passer pour un médiocre à ses yeux, ne pas le faire fuir, et briser ainsi cette relation naissante ?
Et si je lui proposais, un récit commun ?
Il accepte sans trop d’enthousiasme sur le moment, je le sens perplexe, il a sûrement besoin d’y réfléchir.
Le blog s’ouvre et nous donne la possibilité de nous libérer.
Je suppose que mes deux derniers écrits beaucoup moins sages on fait mûrir ce projet dans sa tête.
Nouvel échange en MP et nous tombons d’accord sur le thème d’une rencontre entre nous trois, mais il nous faut plus de détails, donc échange de photos et de détails.
Ouah, il nous plaît vraiment cet homme-là ….
Je me laisse raconter à Lilou tout le plaisir que je prendrai à la voir laisser ses mains d’écrivains parcourir sa peau ainsi de ses effleurements, investigations, il serait déjà en train d’écrire une nouvelle œuvre.
L’excitation d’être lecteur du récit, acteur et observateur lorsqu’elle inonderait sa bouche.
Plus qu’en émoi, lorsqu’il décrira au combien la bouche en taille crayon de ma bien-aimée ravira son crayon personnel.
J’ai chaud, rien que de penser qu’il la possèdera, là sous mes yeux épilogue d’une rencontre fortement attendue.
Il pourra écrire sa partition par devant ou par derrière comme bon lui semble.
Découvrant ainsi ma diablesse de femme.
Bien évidemment nous ne le connaissons pas suffisamment pour assouvir à l’extrême tous les plaisirs de la joute corporelle, le latex sera de mise. Dommage ma friandise que je sais être sienne aussi ne sera pas pour cette fois.
Muette et les oreilles grandes ouvertes, Lilou vient de se planter sur moi, mon récit l’a excité à l’extrême, moi aussi et nous ouvrons les vannes de la jouissance, là sur le canapé et pensant clairement qu’il en manque un.
Voici donc le début d’une belle histoire virtuelle mais désirons réelle (bisous Dick)
Hâte de lire la suite 😉