Coupable exhibition

« Regarde ce que nous avons là : Madame ici présente, s’est rendue coupable du délit d’exhibition. Elle a été surprise en train de pratiquer un rapport bucco-génital sur la personne d’un chauffeur routier sur le parking d’autoroute, aire de Lamanon ».

Je me sens honteuse, debout les poignets entravés par des menottes, dans ce commissariat vieillot. Ma courte robe rouge sous laquelle je ne porte strictement rien me semble maintenant tellement déplacée.

Une des deux fonctionnaires de police est de taille moyenne, des cheveux roux longs coiffés en queue de cheval, sa chemise bleue réglementaire peinant à retenir sa poitrine opulente, dont les boutons sont prêts à sauter pour la libérer. Sa collègue, quant à elle, plutôt masculine, massive, cheveux ras cache son regard derrière des lunettes de pilote effet miroir.

Elles tournent autour de moi. La plus féminine des deux me toise avec un regard malsain.  

« Il va falloir payer votre amende ma p’tite dame, maintenant » s’amuse la policière au cheveux rasés. Elle s’approche de moi, et avec sa matraque, elle écarte brutalement mes cuisses. Elle passe sa matraque entre les lèvres de ma chatte…. Elle me caresse quelques instants et la présente à la bouche de sa collègue qui la lèche avec délectation.

« Tu vois, nous aussi on aime les gros bâtons », ricane-t-elle grassement. Avec surprise, je vois que l’agent aux gros seins enlève son pantalon de service et s’assoie sur le bureau, cuisses largement ouvertes exhibant ainsi sa belle chatte bombée au fin duvet roux. « Tu vas nous montrer si tu es aussi habile de ta langue avec une femme ». Je m’accroupis, les mains toujours menottées et commence à jouer de ma langue sur le clito d’un de mes bourreaux. Elle dégage une odeur musquée, enivrante. Ma langue s’immisce dans sa fente et je la lèche sur toute sa longueur dans un lent mouvement de va-et-vient. Elle gémit alors que,déjà, j’accélère mon mouvement et joue perversement avec son clito. Elle est trempée, son chaud liquide coule sur ma bouche, mes joues, mon menton.

« Mange la bien, fais-la jouir !! » me dicte la masculine. Je lui mordille alors très légèrement le clito pour le faire enfler un peu plus. Elle crie, ses jambes se contractent, tremblent, ses cuisses se resserrent autour de moi à m’étouffer, et se relâche enfin dans un râle de plaisir, laissant mon visage inondé de sa mouille délicieusement odorante. L’autre est là, son pantalon sur les chevilles, la main qui s’agite frénétiquement dans son boxer à la garçonne, sa respiration est saccadée, le regard dans le vide, elle jouit dans un râle rauque.

« Lève toi et retoune -toi, les coudes sur le bureau » L’ordre est donné avec impatience. J’obéis, ma croupe est maintenant offerte. Je sens un objet dur et froid me pénétrer sans ménagement. « Pilonne la fort avec la matraque, elle l’a bien mérité ! » dit la belle aux seins généreux. L’engin me défonce rapidement et rudement. Je mouille comme une folle, je creuse mes reins…. Je vois la rousse qui me regarde en se pinçant les tétons.  Je crie que j’en veux encore. Cruelle, elle retire de gourdin de ma chatte, me laissant au bord de la jouissance…. Et là, j’entends ces paroles pleines d’une vicieuse promesse :« Tu ne trouves pas qu’elle a un beau cul ? » …. Je sens alors le bout annelé de la matraque à l’entrée de mes fesses, elle le fait pénétrer lentement dans mon cul. Je quelques petits centimètres et reste sans bouger. C’est un supplice. Je me tortille et donne un coup de rein pour le faire entrer plus profondément. Elle m’encule doucement avec application, puis accélère son mouvement. Ce gode improvisé joue le rôle d’une belle et grosse queue. Je hurle mon plaisir. Elle se retire et sans un mot m’enlève les menottes. Je reste là, hébétée, encore tremblante du plaisir éprouvé.

« La garde à vue est terminée, vous pouvez rentrer chez vous ». Je sors ébouriffée, les joues encore rouges d’excitation, du liquide me coulant entre les jambes. Là, appuyé nonchalamment sur le mur d’entrée du commissariat, le chauffeur routier de l’aire d’autoroute me regarde amusé et me dit d’un air narquois, avec un clin d’œil : « J’attends ma femme, elle est fonctionnaire de police » !

6 commentaires

  1. Eh bien…eh bien…que c’est coquin cette histoire ! Un vrai délice à lire !

  2. Oh oui!!! Un pur délice ce récit.. je me suis délecte de cette douce perversion…Que du plaisir…bravo

  3. Quel récit, quelle chute !

  4. Hello mon amie , je prends enfin le temps de laisser un petit commentaire…
    Très surprenant et si bien écrit…hummm
    Merci 😜

  5. é bé alôôôôrs ! wahou !!

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