La situation est grave : un commercial a gonflé artificiellement ses ventes dans le but d’obtenir son bonus trimestriel et je dois le recadrer. Malgré mon poste de responsable RH, ce n’est pas le rôle que j’aime le plus, je préfère encourager que sévir. Jouer les mères fouettardes dans le privé, oui, dans le cadre professionnel moins. J’ai réservé une salle de réunion pour cela et lorsque Maxime m’y rejoint, il semble nerveux, limite fuyant.
“Tu sais pourquoi je t’ai convoqué ? “
Il marmonne qu’il ne comprend pas et que s’il lui arrive de faire des erreurs il fait de son mieux pour les réparer. Il faut donc que je lui mette les points sur les i et les barres sur les T. J’ai pour cela connecté mon ordinateur au vidéo-projecteur et je lui expose point par point ce pourquoi il est là, captures d’écran à l’appui. Je le vois se décomposer au fur et à mesure que j’avance dans mes explications et cela me déplaît. Il semble humilié de s’être fait prendre la main dans le sac et ce n’est pas ce que je voulais. Sa réaction, une fois que j’ai fini, me sidère.
“J’ai été un vilain garçon et pour cela je dois être puni Madame. “
Il s’est levé en disant cela avant de venir se placer à mes pieds et j’ai pu voir la formidable érection qui déforme son pantalon et contraste de façon déroutante avec la contrition qu’il affiche.
“Tu aimes que je te gronde Maxime ? “
Il murmure un “oui Madame “presque inintelligible en s’emparant de mon pied droit qu’il étreint comme un naufragé sa bouée et ça me fait vriller.
“Alors il va falloir que je réfléchisse à comment tu pourrais te faire pardonner. Commence déjà par me masser, il fait chaud et j’ai les jambes lourdes. “
Il s’exécute aussitôt. Je suis en mini-jupe, les jambes nues et cela lui permet de remonter bien haut le long de mes cuisses, ce que j’adore. J’en veux toutefois vite plus.
“Tu aimes lécher les chattes Maxime ? Montre-moi ce que tu sais faire ! “
Je le fais allonger au sol et, après avoir enlevé ma culotte je viens m’accroupir sur son visage. Je sais parfaitement que je vais à moitié l’étouffer tandis qu’il me broutera le minou mais ce ne sera après tout que la suite de sa pénitence. Tandis qu’il s’affaire je ne peux m’empêcher de regarder la bosse que fait sa braguette. Je suis tentée un temps de libérer sa queue et de lui rendre le plaisir qu’il me donne mais je me ravise. Il doit apprendre la frustration et je suis persuadée qu’il l’apprécie. Je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps. Son corps est soudain agité d’un spasme et je vois une tâche sombre s’élargir au niveau de son sexe. La situation l’a fait décharger sans même que je ne le touche et, si la situation m’amuse, je dois rester sévère
“Petit salaud, tu jouis sans en avoir la permission ? Ce n’est pas bien… “
Je me suis légèrement relevée pour le laisser s’exprimer et obtiens un “Pardon Madame” dans un gémissement. Il est temps que les choses se terminent.
“Je vais devoir te marquer, ici, maintenant, pour que tu te souviennes, tu comprends ? “
Un nouveau “oui Madame “ me parvient dans un soupir. Son cunni était sympa mais maintenant j’ai envie de me vider la vessie et je lâche tout sur son visage. Il s’en régale visiblement et j’aime cela.
“Merci Madame, je retiendrai la leçon.”
Je me redresse, fourre ma culotte dans mon sac et sors, non sans lui avoir ordonné de se débrouiller pour nettoyer tout ce bordel. Cela fait aussi partie de sa punition et il le sait. Je me demande seulement au bout de combien de temps il va falloir que je le convoque à nouveau. Il a intérêt à déconner vite.