Bon anniversaire

C’est gentil de leur part de m’inviter pour mon anniversaire. Je ne les connais pas depuis très longtemps mais une complicité certaine s’est établie entre nous, qui ne demande qu’à être concrétisée. Ce soir par exemple ? 

J’ai en partie ma réponse lorsqu’il ouvre la porte de chez eux. Elle est soi-disant en train de finir de se préparer mais le sourire coquin qu’il m’adresse m’indique que ce n’est pas que cela. Fabien m’invite à le suivre au salon. S’il y a une bouteille de blanc de Savoie et trois verres sur la table basse, Laure reste en revanche invisible. 

• Ta surprise t’attend au bout du couloir, je ne te montre pas le chemin. 

Ce n’est en effet pas nécessaire, la lumière qui passe sous la porte m’indique que je touche au but. Je préfère toutefois toquer et attendre qu’on m’invite à pénétrer dans ce qui doit être la chambre matrimoniale. 

• C’est ouvert, viens ! 

J’entre et le spectacle est plus que révélateur. Laure, en body de dentelle noire et jambes largement écartées, est en train de se caresser avec un jouet tout en léchant un de ses seins

• Le spectacle te plaît ?

J’adore en effet ce que je vois et le lui dis. 

• Ce n’est pourtant que le début de ta surprise, approche-toi ! 

Elle tapote sur la couette à côté d’elle et m’invite à m’asseoir. Elle ne perd pas de temps ensuite et défait ma ceinture ainsi que ma braguette avant de sortir mon sexe de mon boxer. 

• J’ai déjà vu des photos mais elle est mieux en vrai, tu as une belle queue Dominique. 

Ce sont ses derniers mots. Sa bouche coiffe ensuite mon gland et elle m’offre une fellation à couper le souffle. Je bande fort désormais et Laure caresse ma tige avec douceur, visiblement satisfaite de l’effet qu’elle me fait. Les choses n’en restent cependant pas là et elle finit par se tourner et offrir son fessier à ma vue. Je ne sais pas ce que je préfère mater, la rondeur de ses fesses, les lèvres de son sexe qui luisent de son excitation ou bien le puits sombre de son anus juste au-dessus qu’il me semble voir palpiter. 

• Tu aimes toujours autant ? 

• De plus en plus Laure, mais je ne sais que choisir. 

Fabien, que je n’ai pas entendu arriver, intervient alors. 

• Tu n’as pas à le faire. Sa porte humide m’est réservée, tu as eu sa porte du haut, il ne te reste que la plus étroite. 

Voilà qui est dit et je m’empresse de fourrer mon visage dans la raie de Laure qui se cambre un peu plus. Je la lèche jusqu’à plus soif, élargissant peu à peu son œillet de la pointe de ma langue et le lubrifiant de ma salive. Je sais toutefois que ce ne sera pas suffisant et j’accepte volontiers le tube de gel que me tend Fabien ainsi que le préservatif qu’il me met dans la main. Je finis de la masser masser à l’aide d’une grosse noisette de lubrifiant puis encapuchonne ma queue. C’est le moment et je présente mon gland à l’entrée de son cul. Je pousse ensuite très doucement et Laure m’accueille avec un grand soupir de contentement jusqu’à ce que mon ventre touche ses fesses. 

• Bon anniversaire Dominique, prends-moi fort à présent.

Je saisis Laure par les hanches et commence à aller et venir, lentement d’abord puis de plus en plus vite. Elle m’encourage à y aller à fond à présent et j’entends Fabien prendre des photos. 

• Il faut bien se faire des souvenirs. 

Je suis entièrement d’accord et l’idée de sodomiser Laure devant son mari me fait partir peu à peu. Je lui donne désormais de grands coups de rein un peu désordonnés tandis qu’elle crie son plaisir. Je ne tiendrai pas très longtemps à cette cadence et le leur fais savoir. 

• Donne-moi ton jus ! Dessus ! 

J’ai à peine le temps de me retirer et d’ôter la capote avant de gicler à grands jets sur les fesses et le dos de Laure qui en soupire d’aise. Fabien n’a quant à lui rien perdu du spectacle et recueille un peu de mon foutre du bout du doigt avant de le faire goûter à son épouse. Il est temps ensuite de passer au salon après une petite douche réparatrice. Le vin est resté frais dans son seau et nous trinquons à mon anniversaire. Nous finissons ainsi des sceller notre nouvelle complicité et je crois que je n’oublierai pas de sitôt ce cadeau qu’ils m’ont fait.