La visite de Bakienne

Bonjour les ka-huetes😘,

Pour ceux qui savent callez-vous bien comme il faut et bonne lecture, pour les autres attentions aux effets secondaires …

Lilou a programmé un week-end avec notre amie Bakienne, mais un contre temps fait qu’elle ne peut nous rejoindre que Samedi matin …

– 9h 00, Gare de Strasbourg, le train est déjà arrivé (foutu travaux sur le périphérique Strasbourgeois)

Je me demande lequel de nous deux est le plus impatient ?

Sous cette grande verrière je vois notre petite asiatique un sourire magnifique aux lèvres qui se hâte vers nous ! (Et bien je crois que nous étions tous aussi impatient les uns que les autres)

Elle se jette dans les bras de Lilou, l’étreinte est d’une douceur et une sensualité si intense que j’ai l’impression que le monde s’est figé.

Leurs lèvres se rencontrent si naturellement, je suis figé dans la contemplation de leur complicité !

Un bon de la voyageuse et me voici bouche à bouche avec notre invitée qui me serre vigoureusement dans ses bras.

Cet instant si long mais qui ne fut qu’un bref instant, personne n’a prêté attention à cette effusion de joie !!(enfin je crois)

Nous regagnons la voiture, les filles chargent les affaires, je suis devant l’automate pour régler le ticket de stationnement je les contemple.

Derrière moi une dame d’une trentaine d’année dit à voix basse à son compagnon :

– Tu vois les nanas là-bas, elles se sont embrassées et elles ont embrassées un mec

– Et alors ! elles font ce qu’elles veulent ! (Répond son compagnon)

– Et ça te plairais toi ….

Je me retourne pour rejoindre mes coquines, la dame surprise reste bouche bée, je lui adresse un grand sourire et un clin d’œil, son homme viens de comprendre en me suivant du regard (je n’aurais pas la suite !!!)

Le reste de la journée se déroulera entre shopping promenade et zone commerciale Outlets !!

Parfois main dans la main, des caresses furtives, des essayages à trois ou doigts et lèvres seront indisciplinés !!!

– 19h00, de retour à la maison

Nous nous mettons à l’aise, douche, musique, apéro, repas et toujours cette complicité entre mes deux louloutes.

Je contemple ce bout de femme, elle n’est pas très grande 1m56/57 je pense pour 65 kg environ, de belles courbes de femme dynamique et sportive, ses petites fesses, sa poitrine 100D, sa peau mate et ses yeux noir profond…notre brunette me chauffe les sens ….

– 23h00 direction le lit

La journée éreintante, nous prive de l’envie et du désir de faire plus, 12 kms dans les jambes, les climatisations des magasins avec le contraste de la chaleur extérieure, nous tombons de fatigue.

Un bisou tendre et nos yeux se ferment

J’entends chuchoter, on me pousse délicatement sur le côté, qu’elle heure est-il ?

Je n’ose pas regarder et préfère, faire semblant de dormir.

Dans mon dos j’entends le frottement d’une peau contre l’autre, je perçois le son du mélange de deux langues…

La situation est tellement intense que mon corps se réveille.

– Tu crois qu’il dort ? demande Bakienne

– Le connaissant ! non, mais il est facile de le savoir !

Lilou saisi le bras de son amie le passe par-dessus moi et pose sa main directement sur mon oiseau en pleine forme !!

Un « Oh » de surprise et elle n’hésite pas à empoigner cette chose dure, pour commencer un va et viens.

Je me pose à plat sur le dos. Je regarde l’heure 2h27 !

Pas un mot de plus, juste le déplacement de corps et soudain la sensation chaude, douce et humide !!

D’abord doucement, puis cette langue s’agite plus fermement, j’entends les grognements qui me font comprendre le plaisir qu’elle retire de me faire endurer ce châtiment.

Notre coquine se fait monté la pression ainsi que la mienne.

Je tâtonne et je découvre que Lilou n’est pas en reste, la tête plantée entre les deux cuisses de la joueuse de flûte.

Je trouve facilement la zone très humide de mon amour et plonge aussitôt l’index et le majeur pour caresser l’intérieur de sa gaine…

2…3…15 minutes, plus, je n’en sais rien, à nouveau un mouvement, je suis libéré de cette emprise chaude et gourmande.

On chevauche mon visage, l’odeur enivrante de l’excitation, j’ouvre ma bouche sors ma langue, je saisie les hanches de mon amazone et la plaque sur mon visage.

Tout aspirer, tout fouiller, tout lécher, je cherche les profondeurs de la pointe, je me déchaine.

Je passe un bras pour enlacer mon sushi au niveau des reins et appuie pour la faire reculer, ma langue se précipite direct sur son petit bonbon énervé à souhait qui se présente. C’est à ce moment que je sens mon anatomie happée, dans un fourreau chaud et glissant, les fesses s’écrasent sur mes cuisses.

Je suis l’objet de mes deux furies…

Tout en s’embrassant, elle se déchainent sur moi…. Une contraction puis deux, je ressens le violent plaisir de mon amour qui est empalé, elle se plante au plus loin et grogne sa jouissance, au même instant un flot de liquide rentre dans ma bouche et mon amazone hurle à son tour…

Lilou se dégage et s’affale tremblante à côté de moi, mon asiatique, elle, glisse vers le bas et prend la place ainsi libre, elle va danser jusqu’à l’extrême, elle se contracte, mon organe est pris dans un étau brulant et dégoulinant jusque sur mes cuisses.

Un tremblement, un râle sourd, elle se libère et s’affale dans les bras de Lilou qui était en train de faire courir ses mains sur mon torse.

– Vous pensez vous en sortir aussi facilement mesdames dis-je un peu survolté.

Elles éclatent de rire et Bakienne me tend son arrière train en me faisant signe de venir.

Je saisi ses hanches pour la mettre à quatre pattes.

Je me présente et d’un coup je me plante au fond de son corps.

Lilou, elle a ouvert son compas face à son visage. La langue, les doigts l’investissent directement.

Je prends mon temps, quelques va et viens juste à l’entrée puis une grande poussée et de profonds mouvements…

Le point de non-retour n’est pas loin c’est Lilou qui ouvre le bal en inondant le visage de notre amie dans un feulement profond et libérateur…

– Vas-y …remplie moi …maintenant cris ma proie !!!

Je n’en peux plus et libère toute la puissance de mes coups de reins.

La pièce se remplie de claquements corps contre corps, le frisson de la jouissance me transperce les reins, pendant que j’arrose son antre.

Réaction instantané, elle hurle un « ouiiiiiii !!!! c’est bon je te sens !!!! » dans l’aine de mon amour, elle tremble, se contracte puis s’écroule.

Je me laisse tomber sur le côté à bout de souffle….

Nous sommes là tous les trois savourant ce plaisir de cette partie de jeu…

– 6h17, l’endorphine prendra possession de nos âmes enlacées les uns, les autres…

Le restant du dimanche sera sous le signe du plaisir !

Bisous

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