Bonsoir les ka-huetes,
Encore une histoire du passé, mais bien réelle … oui ! oui !
Le Wüstling (débauché / libertin) est devenu notre nouvelle aire de jeu.
Lors de cette soirée forte en émotions, Joris m’avait donné une carte de couleur rose fluo. (Un peu trop voyante à mon goût)
Nous sommes retournés certains weekends dans ce magnifique club et nous y avons passé des moments riches en sexe.
Un samedi soir lors de la fermeture nous nous sommes attardé un petit peu pour discuter avec Pietra.
Le patron sort de cette porte qui mène vers le fameux salon privé et il marmonne quelques mots en Allemand que je ne comprends pas.
Sa femme qui se lève nous embrasse et disparait.
- Esteban, as-tu ta carte sur toi ?
- Euh, non je l’ai rangé car le rose fluo c’est un peu trop visible et je ne veux pas éveiller les soupçons sur notre vie sexuelle (et oui jeune on est con)
Je pensais que c’était une carte de visite sans réellement avoir pris le soin de la regarder.
- Alors mes amis vous allez devoir prendre congé, le club est fermé, merci de bien vouloir vous diriger vers la sortie ! Merci !
Ouhaaaa, alors là ! Je suis surpris et vexé par sa façon de nous congédier.
Dans la voiture, Samantha dédramatise et arrive à me calmer.
Quinze jours et la colère sont passés, je propose à Sam de faire un tour dans notre club.
Elle accepte mais avant de partir je récupère la fameuse carte et la dépose dans le vide poche central de la voiture sous un paquet de mouchoirs.
C’est Joris qui nous ouvre la porte, il se jette dans les bras de Sam et l’embrasse sur les joues.
Il fait un quart de tour et me serre dans ses bras en mettant une petite claque sur les fesses.
- Ah ! ça me fait plaisir de vous revoir mes petits französisch !
Arrivés au bar, Pietra se précipite et fait de même se permettant de nous déposer un baiser à la commissure des lèvres.
Je ne comprends vraiment pas cette réaction de la dernière fois…
La soirée nous permettra de retrouver deux couples que nous apprécions ainsi que quelques hommes seuls très corrects.
L’heure de fermeture approche et je ne tiens pas à revivre la dernière expérience.
- Ah ! déjà vous partez mes amis ? demande Joris
- Oui ! Oui ! c’est préférable, cela évite les situations désagréables
Joris perd son sourire, j’ai l’impression qu’il veut me dire quelque chose mais d’autres clients nous emboitent le pas pour sortir.
Nous le saluons et sortons.
Deux heures de route pour rentrer, Sam s’est assoupie à l’arrière, il fait un temps magnifique la nuit est douce et la lune bien claire. (On y voit, comme en plein jour)
Je roule la fenêtre entre-ouverte par cette belle nuit d’été.
Cela fait au moins quarante-cinq minutes que je roule quand j’aperçois au loin des feux de détresse sur le bas-côté en sens inverse.
Je ralentis, m’approche du danger, la voiture est une Porsche magnifique d’un rouge étincelant tout aussi rouge que le sang sur le parebrise, le capot avant et l’aile droite sont arrachés.
Cinquante mètres plus loin sur ma voie git un énorme sanglier.
Je m’arrête et aperçoit côté conducteur un grand gaillard blond, qui s’énerve après son téléphone.
- Bonsoir puis-je vous aider ?
- (Accent allemand) Bonsoir Monsieur, oui volontiers je n’ai pas beaucoup de réseau au milieu de cette forêt ! Auriez-vous un téléphone ?
- Oui, attendez je regarde si j’ai du réseau !
J’en profite pour me ranger sur le bas-côté et mettre mes feux de détresse.
Malheureusement je suis aussi sans réseau, je descends de la voiture Sam dors toujours (bravo, je pourrais me faire violer qu’elle ne se réveillerais pas)
Je me dirige vers mon accidenté et l’informe que je n’ai pas de réseau.
Tiens le sanglier n’est plus là, puis dans la peine ombre des arbres je distingue une silhouette.
Quand il arrive à la hauteur de la voiture quelle n’est pas ma surprise.
La copie conforme de celui qui est encore assis au volant.
- Bonsoir Je m’appelle Hans et voici mon frère jumeaux Andréas, merci de vouloir nous aider !
- Et bien bonsoir Messieurs je m’appelle Esteban et Samantha ma femme qui dort dans la voiture.
Impossible de joindre qui que ce soit.
Je leur propose naturellement de les ramener vers la civilisation la plus proche, ils hésitent de peur de nous déranger mais j’insiste.
Les deux gaillards prennent place l’un à côté de moi l’autre à coté de Sam, je ne sais déjà plus qui est qui.
J’ai pris soin de couvrir de son manteau ma dormeuse car sa tenue de club était un peu trop légère, le temps qu’ils récupèrent leurs affaires et ferme leur bolide.
Nous voilà partis.
Discussions banales et vigilance accrue pour éviter la même mésaventure.
D’un coup celui à côté de moi éternue à plusieurs reprises.
Sam sursaute et découvre nos invités.
- Oh excusez-moi Madame de vous avoir réveillée !
Elle salue tout le monde et s’inquiète de la situation.
Nous lui expliquons, mais mon copilote lui cherche quelque chose en se tenant le nez.
- Tiens regarde dans l’accoudoir central il y a des mouchoirs ! lui dis-je
Il saisit le paquet mettant en évidence ma fameuse carte rose.
Je n’ose rien faire.
Au moment de reposer le paquet, il s’arrête, observe la carte, se retourne et fait signe à son frère.
Mon cœur s’emballe, mes tripes se serrent, l’inquiétude m’envahit. (Foutue carte elle m’apporte que des emmerdes)
Le silence règne jusqu’au moment où Hans dit calmement :
- Ah je constate que nous avons des amis en commun !
- Co !! co !! comment ça (le stress de ma voix) ?
- Et bien Joris et Pietra, il n’y a qu’eux qui distribuent ce type de carte et c’est pour les VIP de leur club me répond Andréas.
Dans la foulée les deux frères d’un même geste attrapent leur carte de la poche de leur chemise et me les font voir.
Un soupir de soulagement, je suis rassuré.
Nous abordons donc la discussion du club et de ses propriétaires.
- Vous faites souvent les extras on ne vous a jamais vu ?
- Les extras ? de quoi parlez-vous ?
- Et bien ce soir nous étions là-bas pour une soirée privée qu’ils organisent !
- D’ailleurs seuls les détenteurs de la carte sont invités, les autres c’est dehors.
- Et Joris ne rigole pas avec ça !
Les deux frères parlent comme s’ils ne faisaient qu’un, à tour de rôle.
Mais voilà que je comprends mieux, cette histoire.
Je leur pose une multitude de questions et Sam aussi.
Un village, on fait le tour on trouve une station mais c’est fermé.
On en profite pour la pause « garette »
Nous voilà en train de replonger dans cette forêt dense.
- Mon chéri il faut que tu t’arrêtes j’en peux plus de me retenir
- Ok ma puce !
Je trouve un petit chemin et avance la voiture au maximum.
Elle descend et disparait au milieu des arbres, bien sûr sans son manteau.
Les deux sosies n’en ratent pas une miette, je perçois même de l’activité dans leur pantalon de toile.
- Vous êtes un couple délicieux
- Oui je confirme vous êtes très mignons
- Merci messieurs !
- Dommage que nous ne nous soyons pas connu au club !
Mon téléphone vibre, je regarde, c’est un message de ma dame pipi :
« Yeh ! mon amour, ils sont mignons tes deux copains et je suis bien en forme… bises »
Ah ! la coquine ….
- On a du réseau ? (S’inquiète Hans)
- Non, non, je viens de vérifier.
Et voilà je viens d’accepter la suite des évènements sans qu’ils le sachent.
Ma moitié revient lentement vers la voiture, nous avons tout le temps de la détailler avec sa robe à la Kylie Minogue.
Nous reprenons la route, le sujet de conversation principal est le club et les soirée off…
D’un seul coup je m’aperçois que mon voisin se retourne souvent et que je n’entends plus trop parler les deux de derrière.
J’ajuste mon rétro et découvre le spectacle.
Il est évident qu’elle ne parle plus puisque je vois sa tête monter et descendre sur les cuisses de son voisin.
Lui à la tête en arrière et savoure.
- Et bien je vois que l’envie est plus forte que la retenue !!! on va faire comment à tour de rôle ?
Nous éclatons de rire, sauf Sam car celui qui embroche sa bouche appuie sur sa tête pour aller au fond.
Le bruit de succion fait place aux rires et mon voisin se détache pour caresser son entre cuisse.
- Hop ! hop ! les gars, on se calme !! toi rattache toi, je m’arrête dès que je peux !
Tout le monde s’exécute.
- Là ! Esteban regarde il y a un panneau qui indique un étang, me crie un des jumeaux
Je tourne m’engage et au bout de 2 minutes nous nous retrouvons face à un lac joliment entretenu.
Je stoppe le moteur, le silence nous envahit.
Tout le monde descend, je vais dans le coffre et récupère la couverture qui me sers de protection du plancher.
Hans lui nous fais signe il a trouvé un petit coin sous un arbre où le sol a été fraichement tondu.
On pose la couverture et on s’installe c’est confortable.
Les deux mâles se sont tout de suite placés autour de leur proie, la robe vole !
En fait tout vole et ils se retrouvent nus en un battement de cils
Sam est à genoux le premier vient devant elle, la prend dans ses bras et l’embrasse. L’autre se pose derrière les enlacent et l’embrasse dans le cou.
Son corps est couvert de caresses, elle caresse leurs têtes.
Je perçois une sorte de va et vient, ils se frottent en rythme.
Celui de derrière recule un peu son bassin et prend sa matraque dans la main il la redescend à l’horizontale, il veut l’introduire.
Sam se contracte.
- Et les gars, on a des capotes dans la voiture !!!
Le deux répondent en même temps :
- Avec la carte rose pas besoin on sait que vous avez été testé par notre oncle !
- Avez-vous pris des risques ?
- Non que la dernière fois au club avec Joris
- Alors tout va bien !
Sur ces mots c’est celui de devant qui recule, appuie sur sa tige et rentre en douceur dans le vagin de ma femme.
Il commence des va et vient lentement.
Son frère derrière joue avec ces doigts, une danse étrange qui emmène Sam à pousser ses fesses en arrière.
D’un seul coup il saisit son érection, la descend et avance vers les fesses de ma douce.
Je comprends son désir, et je suis figé de voir la facilité qu’ils ont.
Voilà ma belle prise en double presque debout.
Sans même se parler, ils sont synchros, on a l’impression qu’ils ne font qu’un.
Mais la belle ne tient plus sur ses genoux et se dégage, à peine allongée sur le dos l’un des jumeaux me fait signe de la prendre, je m’exécute et savoure son sexe chaud et dégoulinant.
Je lève ses jambes et investis son derrière.
Un orgasme violent vient la secouer et la fait crier de plaisir. Elle se relâche comme une poupée de chiffon.
- Esteban tu as des lingettes ou de l’eau ?
- Oui dans la voiture dans le coffre !
- Ok, je vais les chercher (dit l’autre)
Ils font une petite toilette sommaire.
Sam reprend connaissance et demande à boire.
Une fois fait, les deux lascars se rapprochent d’elle et à l’unisson s’occupent de chaque partie de son corps.
L’un la lèche, l’autre suce ses seins et joue avec ses tétons.
Les doigts fouillent, les bouches dévorent, ils tournent sens cesse comme une tornade.
Ils ne font qu’un.
Ma femme suffoque de plaisir elle va jouir à plusieurs reprises dans leurs bouches.
Mais ils la gardent au chaud et évitent qu’elle ne jouisse trop fort.
Puis les choses s’accélèrent il vont la prendre et investir sa bouche la même tornade de pénétrations.
Je sens ma chose prête à exploser, tout comme moi.
L’un des bourreaux me fait signe de m’allonger.
Ils s’arrêtent tous les deux, soulèvent Sam, la déposent sur moi et guident ma tige dans son anus.
Sans un mot l’un des deux reprend place dans son vagin et l’autre dans sa bouche.
Je perds le fil et ne sais plus lequel lui fait quoi.
Sentir ce membre frotter sur le mien ne tarde pas à me faire monter trop haut.
- Ah hhhhh !!!ouiiii !!!!
- Vas y ! Esteban lâche toi on te suit !!!!
Sur ces paroles j’ouvre les vannes et envoie tout mon plaisir, les deux autres me suivent effectivement et j’ai l’impression de sentir les giclées à travers la paroi vaginale.
Samantha n’est plus qu’une crispation terrible qui hurle la gorge encombrée.
Elle tremble et s’écroule sur moi !
Je suis épuisé Sam aussi, nos yeux se ferment !!!
10h00 :
J’ouvre un œil, nous sommes dans un lit très confortable mais dans une pièce totalement inconnue !!!!
Les données GPS su lieu de rencontré que je m’y rende . Lol
Hummm. Moi aussi,j’ai une Porsche, mais elle n’est pas rouge… Dommage😁
Merci pour celle belle histoire…. On a envie d’y être….