Départ en vacances

La route qui m’amène sur mon lieu de vacances est longue. Je suis donc parti tôt ce matin et l’aire d’autoroute est déserte lorsque je décide de faire ma pause café. L’employée à la caisse semble même carrément s’ennuyer alors je décide de lui faire un peu de causette au moment de commander. Elle semble ravie de ma présence et la conversation s’engage. J’apprends très vite que j’ai débarqué à la pire heure de sa vacation, celle où les oiseaux de nuit sont partis et les diurnes pas encore arrivés et que c’est difficile. 

  • Je peux vous offrir un café alors, pour vous faire passer le temps ? 
  • Je ne sais pas si c’est très règlementaire 
  • Qui le saura ? Si quelqu’un débarque il suffira de dire que vous m’avez apporté ma commande. 
  • Vous n’avez pas tort, et je vais même faire mieux. Asseyez-vous, je nous apporte les expressos.

Je m’installe dans un fauteuil et, avant de me rejoindre, je la vois verrouiller la porte et mettre une affichette. 

  • Voilà, la boutique est en maintenance, nous avons un peu de temps. Que me vaut l’honneur de votre passage ? 

Je lui raconte mon départ en vacances et mes envies de m’amuser avant qu’elle ne me coupe. 

  • Et si votre première rencontre, vos premiers jeux, c’était moi ? 

Je la regarde, un peu interloqué, puis je me dis pourquoi pas. Elle est plutôt agréable à regarder malgré son uniforme et l proposition est si franche que ce n’est certainement pas son coup d’essai. 

  • La proposition est tentante mais comment ? 
  • Vous m’avez vu fermer boutique, ça ne durera pas très longtemps mais pour un petit coup sur la banquette là-bas cela suffira. 

Elle se lève et va s’allonger un peu plus loin, les jambes largement écartées et relève sa jupe sur son ventre m’offrant ainsi une vue imprenable sur le ticket de métro brun qui surplombe ses lèvres intimes gonflées de désir. C’est absolument irrésistible et je tombe à genoux devant ce spectacle. 

  • Vous aviez si faim et soif que ça ? Si vous vous y prenez bien vous pourriez être recompensé. 

Il n’en fallait pas plus pour me motiver et, de ma langue et de mes lèvres, je m’attaque au sexe qui se trouve devant moi, déclenchant quelques soupirs de la part de sa propriétaire qui ne tarde pas à me saisir la tête entre ses mains. 

  • Oui, là, un peu plus fort mais pas trop, oh que c’est bon…

J’aspire désormais son clitoris tandis que trois de mes doigts vont et viennent dans son vagin, stimulant au passage sa zone G et, très vite, son bassin s’anime d’une houle de plaisir tandis que ses cuisses se referment sur moi. Son goût aussi a changé, annonciateur d’un orgasme imminent. 

  • Je… Aaaahhh ! 

Elle crie et m’arrose le visage d’un squirt limpide avant de s’effondrer. Je la laisse se calmer et me redresse, la queue dressée dans mon pantalon. 

  • J’ai joui fort, merci, c’est à votre tour. 

Elle a vite repris ses esprits et me débarrasse du bas de mes vêtements avec adresse. 

  • Joli sucre d’orge, je vais me régaler. 

Elle n’attend pas plus pour me prendre dans sa bouche, une de ses mains me massant les bourses, elle a une science de la fellation incroyable et je me sens dans un fourreau doux chaud et humide qui m’amène sans coup férir vers la jouissance. J’ai le tact de l’en avertir mais ce n’est pas pour autant qu’elle me retire de ses lèvres et j’explose à grands jets au fond de sa gorge. Elle ne me boit pas jusqu’au bout et laisse les dernières gouttes tomber sur son chemisier y laissant des tâches sombres et luisantes. 

  • Comme ça je penserai à vous quand vous serez parti. Il est temps que je reprenne mon service. Merci encore. 

Je finis mon café il est à peine tiède mais a un bon goût de vacances, et quand je quitte les lieux, je vois mon amante servir un couple de nouveaux arrivants, son chemisier toujours souillé de ma semence. Elle me lance un clin d’œil complice que je lui rend. Il me reste encore quelques heures de route mais je vais les faire sur un petit nuage 

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