L’été était revenu et j’étais fort surpris de ne pas avoir encore vu passer Martine dans une de ces robes dont elle seule avait le secret. J’avais mis ça sur le compte d’horaires incompatibles et des vacances. Quoi qu’il en soit, après notre escapade de l’année dernière j’étais toujours impatient de la revoir, même si nos coquinerie étaient restées sans lendemain. Ça avait été en vain jusqu’à aujourd’hui.
Je déjeunais donc seul, comme à l’accoutumée, mes collègues ne m’inspirant pas le désir de partager leur table. Nous avions la chance d’en avoir en extérieur au siège pour prendre nos repas et, comme le temps était moins chaud, c’était un plaisir de manger dehors. Un plaisir solitaire pour ma part. Jusqu’à ce que je voie Martine, son plateau à la main, se diriger vers moi. Ce que je vis dépassa toutes mes espérances. Elle portait une robe imprimée bleue qui faisait ressortir magnifiquement un bronzage qu’elle avait dû travailler longuement si j’en croyais son intensité. Robe très courte qui révélait les jambes fuselées de Martine que je n’avais pas oubliées. Et le décolleté. Juste assez échancré pour dévoiler sa poitrine à peine soutenue par un joli balconnet assorti à sa tenue. Soulignée aurait d’ailleurs été un terme plus exact, tant le dessous révélait ses seins plus qu’il ne les couvrait. Un rapide examen à la dérobée m’apprit qu’aucune marque de maillot ne venait les zébrer. J’étais sous le charme. Martine, le sourire aux lèvres vint déposer son plateau en face du mien, offrant un peu plus à ma vue sa belle poitrine mature. Le fit-elle exprès ? Lorsqu’elle enjamba le banc pour s’asseoir sa robe se releva juste assez pour me révéler qu’elle ne portait pas la moindre culotte. Pas même un string. Je vis donc fugacement que Martine n’avait pas cédé aux sirènes de l’épilation intégrale et qu’une jolie toison ornait son pubis. J’en étais ravi.
Nous attaquâmes donc notre repas, échangeant sur nos vacances respectives. Je la complimentai sur son hâle. Elle me répondit que sa peau prenait facilement le soleil et qu’elle s’était livrée à pas mal d’activités de plein air lors de ses séjours. Elle était allée deux semaines en Grèce et, à son retour, avait passé une semaine au Cap. La question m’échappa ;
— Tu étais au Village ?
— Comme tous les ans, j’aime vivre nue, pas toi ?
Décidément, Martine n’avait rien perdu de l’aplomb qui m’avait tant séduit l’année passée. Du tac au tac je lui répondis que je passais le plus clair de mon temps sans le moindre vêtement sur ma terrasse mais qu’à mon grand regret je ne fréquentais plus les lieux naturistes. Elle poussa un soupir
— Tu ne sais pas ce que tu manques
— Je ne le sais que trop bien Martine
— Alors, passe à la maison ce samedi, l’eau de la piscine est délicieuse.
L’invitation s’était appuyée de la délicate pression de ses orteils nus sur mon entrejambe. Je bandai aussitôt, sans la quitter des yeux. Elle me fixait également, semblant attendre mon acquiescement.
— Et bien, soit, je viendrai ce weekend. Dois-je amener quelque chose ?
— As-tu toujours de cette liqueur que j’avais tant apprécié l’été dernier ?
Et elle accentua la caresse de son pied sur mon sexe douloureusement comprimé dans mon pantalon. C’était délicieux qu’elle me branle ainsi alors que d’autres collègues passaient autour de notre table. Je crispai ma main sur le rebord.
— J’ai l’impression que oui. Mais il ne faudrait pas gaspiller. Je te laisse. À plus tard.
À mon grand regret, son pied regagna sa chaussure et, empoignant son plateau, elle se leva. Non sans m’offrir une fois de plus la vision de son sexe touffu en passant la jambe par dessus le banc. Je rougis, j’avais l’impression que tout le monde s’était rendu compte de son manège bien qu’ils vaquassent tous, visiblement indifférents.
Je fus passablement improductif l’après midi qui suivit, obnubilé par l’invitation de Martine et le souvenir de sa caresse. Ces pensées meublèrent également ma soirée et ma nuit durant laquelle je me manipulai doucement, attentif à ne pas jouir. Je lui en réservais la primeur. Heureusement que nous étions un jeudi, l’attente sinon eût été insoutenable. Et, paradoxalement, c’est aussi ce qui en faisait le piquant. Martine ne travaillait pas le vendredi. Mais, en ouvrant mes mails le matin, je vis qu’elle m’avait adressé les coordonnés GPS de son domicile avec ce simple commentaire : “samedi 9h. Sois ponctuel…”
C’était délicieusement sybillin et je passai une grande partie de mon vendredi à me perdre en conjectures sur le programme du lendemain. Martine était mariée. Je supposais que son époux serait absent, nous laissant le loisir de nous ébattre librement. Elle ne m’en avais jamais rien dit mais je le supposais complice de ses écarts. Elle semblait trop libre et, maintenant que j’en savais plus sur elle, trop décomplexée dans ses envies pour qu’il en soit autrement. L’idée me plaisait beaucoup. Autant l’acte presque fortuit de l’été précédent m’avait donné un fort plaisir charnel, autant l’épisode à venir, beaucoup plus construit, provoquait en moi un intense émoi cérébral. La journée passa finalement assez vite. Tout juste me reprocha-t-on une légère distraction dans mon travail, que l’on mit sur le compte du weekend à venir. S’ils savaient…
Je m’éveillai très tôt ce samedi. Je ne voulais pas faire attendre Martine. Mais que la nuit avait été agitée. Je n’avais pas réussi à ne pas imaginer toutes sortes de scénarii, même si je savais qu’au final la décision lui appartiendrait. Je lui proposerais, certes. Mais elle déciderait. Car même si c’était moi l’invité, je voulais qu’elle soit au centre de toutes les attentions. Alors la douche fut la bienvenue, ainsi que le petit déjeuner. Il me fallait être le plus éveillé possible. Pour ma tenue, j’avais fait mon choix la veille. Un chino aux couleurs estivales, un polo coordonné et une paire de mocassins m’avaient semblé idéaux pour une pool party. Une fois prêt, je pris la route. Mon GPS m’indiquait une grosse demie heure de route. J’étais donc parfaitement dans les temps pour rejoindre Martine.
Le trajet se déroula sans encombre et je me retrouvais bientôt devant un haut portail de fer forgé. Je sonnai comme il était convenu. Il s’ouvrit en silence et j’engageai mon véhicule dans l’allée. Martine habitait une petite villa de style provençal parfaitement intégrée dans le paysage. La piscine n’était par contre pas visible depuis mon point de vue. Je supposai donc qu’elle viendrait me chercher à ma descente de voiture.
Ce fut toutefois un homme en peignoir qui m’accueillit. Et qui se présenta comme le mari de Martine. On n’attendait que moi me dit-il ? J’avais quelques présomptions quant aux relations de couple de ma collègue, il venait par ces mots me les confirmer. Et l’idée d’un trio n’était pas pour me déplaire. J’étais relativement novice en Liberia mais curieux de tout. Et je connaissais déjà Martine.
Nous la retrouvâmes au bord de la piscine. Elle continuait de travailler son bronzage, pourtant déjà impeccable, allongée nue sur un bain de soleil.
— Chérie, ton ami est là.
Elle se redressa sur ses coudes, me faisant ainsi l’honneur de sa poitrine délicatement posée sur le matelas, et m’adressa un sourire radieux
— Oh te voilà ! Je suis content que tu aies pu venir.
C’était la première fois que je la voyais débarrassée des attributs sociaux que sont les vêtements. Et les courbes de son corps mature étaient un réel plaisir pour les yeux. Je restai un bref instant immobile à la contempler. Elle s’assit alors et tapota sur le matelas pour m’inviter à la rejoindre. Je m’approchai d’elle et me baissai pour lui faire la bise. Mais elle attrapa mon menton de sa main et prit ma bouche sans autre forme de cérémonie. Nous étions entrés directement dans le vif du sujet. Je devinais les yeux de son mari posés sur nous alors que nous nous embrassions et n’en ressentais aucune gêne, bien au contraire. Et bientôt je me sentis un peu à l’étroit dans mon caleçon. Martine ne manqua pas de le remarquer et, posant une main douce mais autoritaire sur la bosse qui déformation mon pantalon, m’invita à me mettre à l’aise.
— Je peux même t’aider si tu veux. J’aime découvrir par moi-même les cadeaux qu’on m’apporte.
Et, joignant le geste à la parole, elle défit ma ceinture et fit glisser le Zip de mon pantalon qu’elle fit glisser le long de mes jambes, ainsi que mon pantalon. Martine n’avait pas perdu ce don de prendre des initiatives qui m’avait tant surpris l’année précédente. Je fis un pas de côté pour me débarrasser de mes vêtements devenus inutiles et ôtai mon polo. Je voulais m’allonger auprès d’elle. Elle me demanda pourtant de rester debout.
— Ta queue est si esthétique, tu sais que j’aime la regarder, la toucher, la goûter. Je lui en ai déjà parlé mais je veux qu’il le voit de ses propres yeux.
Et elle commença à me caresser en prenant soin du fait que son mari ne perde pas une miette du spectacle de sa main coulissant sur mon sexe. Je tournai la tête vers lui. Il avait écarté les pans de son peignoir et avait commencé à se manipuler, les yeux fixés sur nous. Martine ne tarda pas à joindre la douceur de ses lèvres à celle de ces doigts, ne libérant ma queue du fourreau de sa bouche que pour en vanter les qualités à son cocu. Lequel, les yeux fixés sur nous, avait accéléré ses mouvements. Elle le rabroua
— Doucement chéri. Je te rappelle que tu as interdiction de jouir avant lui. Et je peux te garantir que j’ai l’intention d’en profiter au maximum.
Maté, il abandonna sa masturbation sans pour autant que son érection ne faiblisse.
Martine avait décidé que je devais être à point et cessa sa fellation avant de s’allonger sur le dos, les jambes largement écartées.
— Veux-tu lui montrer comment tu lèches ? Je suis sûre qu’une démonstration lui fera le plus grand bien.
Je m’agenouillai entre ses cuisses et pris son bouton entre mes lèvres. Elle arqua les reins. il me fallait prendre le temps de son plaisir. alors je décidai de laisser son clitoris tranquille pour le moment. Je faisais aller maintenant ma langue à la commissure de ses lèvres du bas, la dardant par instants à l’intérieur de son sexe, comme une mini queue. Puis je l’aspirais, l’agaçais, la mordillais. Elle était trempée et gémissait à présent en ondulant des hanches. Je la regardais fixer son mari du regard pendant que sa jouissance montait. Elle ne lui en épargnait d’ailleurs aucun détail, ce qui le mettait dans tous ses états.
Elle ne voulut toutefois pas jouir ainsi et me demanda de la prendre. Elle me fit allonger sur le matelas et me chevaucha. Elle fixait ainsi le rythme de ma pénétration par le roulis de son bassin. Le mari roulait des yeux fous en regard sa femme se baiser sur ma queue et sa main avait repris son manège endiablé sur la sienne.
Martine finit par lui faire un petit signe de la main, l’invitant à nous rejoindre. Il s’approcha sans cesser de se masturber et se positionna derrière moi pour admirer le spectacle des fesses de son épouse qui montaient et descendaient le long de mon sexe tendu. Il finit par nous demander s’il pouvait toucher. Martine m’interrogea du regard. J’eus un instant de flottement. C’était pour le moins inattendu et jamais un homme n’avait porté la main sur moi. Finalement, pris dans l’excitation du moment, je battis des paupières en guise d’acquiescement. Martine me remercia silencieusement et se souleva pour me dégager. Je sentis alors la main de Monsieur de poser sur moi. C’était un contact plein de douceur. Il caressait ma hampe et mes bourses avec un infini respect, comme pour me remercier de mes attentions à sa femme. Puis il finit par présenter à nouveau mon gland à l’orée du sexe de Martine qui se laissa tomber sur moi avec un gémissement de plaisir.
— Occupe-toi donc de mon cul chéri.
Comme s’il n’attendait que ça, le mari se mit à embrasser les fesses de sa femme avec ferveur et dévotion. J’entendais les bruits mouillés de ses baisers qui se mêlaient aux clapotis de ma queue qui allait et venait dans la chatte de Martine. Et je ne tardai pas à sentir ses lèvres le long de ma veine. Ce dérapage me plaisait beaucoup et je leur en fis part. Un sourire ravi éclaira le visage de Martine. Qui se releva, laissant mon sexe à l’air libre.
— Chéri, veux-tu bien t’occuper de notre ami ? Il faut le nettoyer, il est plein de sécrétions.
Et, avant que j’ai pu dire ouf, il m’avait englouti dans sa bouche. Et force m’était de constater qu’il suçait aussi bien que son épouse. Il me nettoyait de sa à petits coups de langue. Presque amoureusement. Quant à Martine, elle lui massait l’anus de deux doigts préalablement enduits d’un gel qu’elle avait sorti je ne sais d’où. Avant de me faire la proposition suivante. Au final elle allait se faire pénétrer par son mari. Mais elle désirait que je la prenne à travers lui. J’eus une nouvelle hésitation.Je lus alors une supplique muette dans les yeux de Monsieur. C’était complètement dingue. Mais, finalement, idée de le sodomiser pour leur plaisir commun m’excitait au plus au point. Et puis j’avais déjà eu sa main et sa bouche. Son cul était une apothéose logique pour notre trio. Je déposai donc un baiser sur leurs bouches pour les assurer de mon accord.
Alors Martine s’allongea à nouveau et son mari se positionna entre ses jambes, entrant en elle avec dévotion. Puis resta ainsi, immobile, me présentant donc son cul. J’en approchai ma queue tendue puis, tout doucement j’entrai n’en lui. Ils soupirèrent. Je commençai alors à aller et venir dans son anus, lui imprimant ainsi le rythme auquel il baisait sa femme. C’était une sensation incroyable, d’autant plus que nous entendions tous les deux Martine nous raconter comment elle avait l’impression de me sentir au travers de son mari et le plaisir que ça lui donnait. Encouragé, je mis alors un peu plus d’intensité aux mouvements que je leur communiquais. Nous bougions désormais ensemble, suivant les halètements de Martine et c’était formidable Et puis, soudain, je sentis aux contractions de son anus que monsieur allait jouir. Ce fut comme un signal pour moi et nous déchargeâmes ensemble en criant notre plaisir. Concert auquel elle se joignit, prise d’un orgasme d’une rare intensité. Puis nous nous retirâmes et elle vint lécher nos dernières gouttes de sperme
Nous restâmes un moment collés tous les trois, repus de plaisir. À nous câliner pour faire durer ce moment. Puis Martine donna le signal de la douche à laquelle nous nous rendîmes ensemble pour une dernière étreinte.
Une fois secs nous prîmes un verre au bord de la piscine. Je remerciai le couple pour cette incroyable initiation. Ils me répondirent que c’était un moment rare, faute d’amants assez ouverts. Et me promirent que la prochaine fois nous explorerions d’autres combinaisons. J’acceptai la proposition avec joie. Et, quand arriva le moment de mon départ, nous nous étreignimes avec passion.
Cet été là je passai beaucoup de temps avec Martine. Soit en pause au travail, soit en trio avec Monsieur. Et j’en découvris beaucoup sur tous les plaisirs que je pouvais donner et recevoir.
Le temps s’est écoulé depuis. Mais il ne se passe pas un jour sans que je n’aie une pensée pour eux, grâce à qui je suis devenu un amant plus complet.
Hummm.
Hummmmm…..
Bonjour mon ami, cela me rappelle certains souvenirs , c’est excellent…😜