Ton attitude est suffisamment explicite et se passe de tout discours. Tu m’attends, nue et à quatre pattes sur le lit, la croupe relevée et le visage enfoui dans un oreiller. Je sais ce que tu attends, tu me l’as dit quelques heures auparavant, et je compte bien te donner satisfaction. Avec ma bouche pour commencer. Je me suis déshabillé moi aussi et t’ai rejointe sur la couette. Tu n’auras cependant que ma langue pour commencer, qui glisse maintenant le long de ta raie avant de s’attarder sur ton œillet qu’elle tente de pénétrer de sa pointe. Cette caresse le déplisse peu à peu et je m’y attarde assez longtemps pour le sentir palpiter sur ma bouche tandis que je le noie de salive. Tu ne dis rien mais je vois ton sexe couler de désir et je recueille un peu de ce jus avec mes doigts que je fais coulisser dans ta fente. Je les présente ensuite à ton cul et je n’ai qu’à pousser un peu pour que tu avales deux phalanges de mon index et de mon majeur joints, auxquels j’imprime ensuite un mouvement rotatif lent dans le but de continuer à t’ouvrir. Tu es toujours muette mais le langage de ton corps en dit long sur ton envie. Tu es ma superbe salope, je vais bientôt t’enculer, et c’est ce que je te dis tandis que je viens mouiller mon gland dans ta chatte. Tu ne peux étouffer un soupir et ton bassin vient à ma rencontre pour me prendre tout entier. Ce n’est cependant pas ce que je te destine et que tu espères un peu plus à chaque instant depuis que je m’occupe de toi. Je ne fais donc que quelques aller et retours, le temps que tu prennes un peu la mesure de ma queue et je me retire, tout luisant de ta mouille. Le moment est venu d’achever ma possession et, après avoir frotté ma tige entre tes fesses, je la presse sur ton petit trou. Tu ne te dérobes pas, tu n’esquisses même pas un mouvement de recul lorsque mon gland te pénètre puis, après un temps d’arrêt, le reste de ma bite. Je suis désormais fiché tout entier dans ton cul et m’extasie sur la façon dont tu m’as reçu. J’entame ensuite de lents va et vient mes mains accrochées à tes hanches. Tu me laisses un moment cette initiative puis tu te mets à avancer et reculer les fesses, accompagnant ainsi mes mouvements. Tu est brûlante, je sens tes muscles internes m’ m’entourer mieux qu’une main et j’accélère la cadence tout en te disant à quel point il est bon de te la mettre. Ce manège dure un bon moment mais il doit avoir une fin et c’est toi qui la décide en me priant de te juter dedans. Ce sont les premières paroles que j’entends de toi aujourd’hui et je m’y range. Je ne me retire donc pas, même si je ne laisse que mon gland en toi, et il ne me faut guère de temps avant que je ne lâche de longues giclées. Tu m’éjectes ensuite, sans que je ne finisse de mollir dans ton cul et tu m’offres le spectacle de mon foutre qui en coule.
“Lèche et viens m’embrasser !”
Tu viens de prendre la main et je m’exécute. Le goût en est un peu âcre mais nous nous en régalons tous les deux tandis que nos langues s’enroulent l’une autour de l’autre. Ce n’est pas souvent que tu m’offres ainsi ton cul mais je ne l’en aime que plus.
Hello mon ami,
Et bien étrangement tes mots résonnent avec certaines images que j’ai immortalisé…
Merci de nous deux 😘