Ta mission dans nos murs se termine bientôt et, pour marquer le coup, nous t’avons organisé un pot de départ. Cela n’a pas été facile de le faire à ton insu, après tout c’était ton job de tout savoir dans le bâtiment, mais nous y sommes arrivés et tes yeux s’arrondissent de surprise lorsque tu débarques sur le patio et que tu vois ce qui a été commis en ton honneur.
Tu es gênée dans un premier temps mais nous faisons tout pour te mettre à l’aise et, très vite, tu vas de groupe en groupe un verre jamais vide à la main et le sourire aux lèvres afin de nous remercier pour cette attention.
“Et c’est probablement déplacé mais… “
Tu ne finis pas ta phrase mais ton regard a changé sur nous. Il est désormais gourmand et, curieux, nous t’en demandons la cause.
“Eh bien, il y en a certains dont j’aurais volontiers agrémenté les pauses mais à cause de la sacro-saint règle du No Zob in Job je me suis retenue. Laquelle, vous en conviendrez Messieurs, n’a plus de raison d’être puisque je ne serai plus là demain. Alors ? Par qui je commence ?
Tu fais le tour de l’assemblée comme si tu cherchais le premier volontaire. Il n’y a heureusement presque plus personne et je crois que toutes les personnes présentes le sont. Deux paires de bras t’entraînent donc vers un canapé de jardin, que la direction n’a absolument pas prévu pour ce que nous lui destinons, et un cercle se forme autour de toi.
“Hey les garçons ! Pas tous à la fois ! Quoi que “
Tu défais rapidement les baguettes qui se trouvent à ta portée et te mets à branler les queues que tu en sors. Les autres doivent le faire eux-même mais tu as bientôt une demi-douzaine de sexes en érection à ta disposition. Tu te mets alors nue en un tour de main et le défilé commence. Allongée en travers du sofa, tu te fais lécher par Philippe de la compta tandis que Hugo, le jeune technicien de labo, te donne sa bite épaisse à sucer. Tu parviens pourtant à l’enfourner en entier pour sa plus grande joie. Tu es prête pour la suite et Fred, le chef de projet profite des soins que t’a prodigués Philippe pour t’enfiler sans la moindre difficulté.
Tout devient flou ensuite et si je crois que tu as profité de tout le monde et par tous les trous je ne peux pas jurer que certains des hommes présents n’ont pas joué entre eux. Quoi qu’il en soit, l’heure du bouquet final est arrivée et, un par un, nous venons au-dessus de toi pour t’arroser de foutre. Ta peau luit de toute notre semence et, repue, tu viens adresser une ultime caresse à tous ces membres qui viennent de te donner tant de plaisir. Le canapé est ruiné, jonché de capotes, ce n’est plus ton affaire désormais, et tu te rhabilles sans te rincer.
“Je préfère tout garder sur ma peau jusqu’à chez moi en souvenir, merci les garçons. “
Nous te raccompagnons jusqu’à la sortie et tu disparais dans le soleil couchant sous nos applaudissements. Tu vas nous manquer.