All inclusive (2)

Les tables sont attribuées pour le dîner et je ne les passe donc pas avec mes nouveaux amis. La compagnie que j’ai n’en est pas moins agréable puisque je partage mon repas avec un groupe d’amies sensiblement de mon âge et qui semblent avoir une certaine expérience de ce genre de voyages. En témoigne le naturel avec lequel ils naviguent sur l’application qui permet de choisir son menu mais pas que. Ma voisine a laissé son téléphone écran allumé à côté de moi et je constate qu’elle est connectée sur le chat du bateau. L’occasion est trop belle de lui poser la question quant à l’utilité de cette fonctionnalité et je ne m’en prive pas. 

  • Et bien, figurez-vous que mon agenda ne désemplit pas depuis que j’ai embarqué, que ce soit le jour ou la nuit, le tout grâce à un pseudo bien choisi. 

Le sourire qu’elle m’adresse en dit long sur la nature de cet agenda mais elle n’oublie pas de me le préciser “au cas où je voudrais de plus amples explications”. CorineMilf est en effet pour le moins explicite et elle n’a pas oublié de rajouter quelques emojis aux caractères pour souligner sa disponibilité. Je lui adresse une demande de connexion qu’elle accepte aussitôt avant de me présenter à ses copines 

  • Mesdames, je vous présente FredSympa. 

Je les vois tapoter sur leur écran et reçois quatre invitations, d’avatars tout aussi démonstratifs que celui de ma voisine. Je ne suis pas gêné par une telle affluence mais je préfère leur préciser que je ne pourrai sans doute pas répondre à toutes les demandes. Elles rient en cœur et m’assurent d’une part qu’elles ne sont pas jalouses les unes des autres et d’autre part qu’elles trouveront tout de même de quoi se rassasier si je ne me manifeste pas. Me voilà rassuré et la conversation qui jusqu’alors était restée très correcte prend des allures de déballage sensuel et ces dames ont tout autant de répartie que d’anecdotes croustillantes, ce qui m’échauffe considérablement les sens. 

Il y a un spectacle de danse ce soir et “comme elles sont venues pour cela aussi “, elles me laissent seul non sans être venues m’embrasser chacune leur tour, qui sur la joue, qui sur la commissure de mes lèvres. J’en profite pour contacter mon couple d’amis afin d’aller commencer la soirée par un verre mais ils sont déjà pris. Tant pis, je boirai seul et en profiterai pour mater un peu mes congénères. Je n’ai pourtant pas à attendre bien longtemps avant de recevoir une notification. HotDaronne, l’une de mes convives vient de m’écrire qu’elle abandonne ses camarades et qu’elle va aller prendre l’air au solarium. Je lui propose de la rejoindre, ce qu’elle accepte avec joie et une bordée de smileys évocateurs. Pas aussi évocateurs pourtant que la tenue qu’elle arbore désormais alors que je la retrouve. Elle porte en effet une robe courte et largement décolletée qui l’a rend encore plus excitante que si elle était nue et je n’ai qu’une envie c’est de passer mes mains dessous vu qu’elle ne semble porter aucun sous-vêtement. 

  • Tu aimes ma tenue de chasse ? 

Elle me tourne le dos, appuyée au bastingage et creuse ses reins, ce qui découvre légèrement un fessier large et rebondi auquel je me colle aussitôt. 

  • Et comment ! Tu dois pas mal attraper avec un tel équipement si je ne m’abuse. 
  • Tu as raison et, si j’en crois ce qui glisse dans ma raie, tu viens de te laisser prendre à ton tour. 

C’est vrai. Mon érection, que je ne peux plus contenir, a trouvé tout naturellement refuge entre ses deux globes et je me frotte à elle à travers le tissu de mon pantalon. 

  • Tu ne veux pas sortir ta queue ? Ça coulisserait mieux 

Il ne faut pas me le dire deux fois et je me retrouve rapidement cul nu et mon gland contre sa fente. 

  • Viens ! 

Elle me tend une capote sortie de je ne sais où que j’enfile précipitamment avant qu’elle ne me prenne en main entre ses jambes et ne me guide en elle. Je la pénètre d’une poussée résolue avant de commencer à faire des va et vient. La lune éclaire la mer sous nos yeux et je ne peux pas m’empêcher de penser que nous jouons là une version porno d’une scène culte de Titanic. Je lui en fais d’ailleurs part. 

  • Je suis la reine du Monde ! 

C’est alors que je remarque que quelques hommes nous entourent et profitent du spectacle en se branlant doucement. Je n’ai pas trop l’habitude des voyeurs mais ma partenaire me dit que c’est monnaie courante et m’encourage à leur en donner pour leur argent en ondulant de la croupe. J’accélère donc le mouvement, mes doigts crochés dans ses hanches et elle ne tarde pas à crier son plaisir. Je ne suis pas loin de prendre le mien et elle m’annonce qu’elle le veut sur elle. Je me retire donc, elle se retourne, s’agenouille face à moi et retire la capote. Quelques mouvements du poignet lui suffisent pour que je l’arrose de foutre, sur le menton mais aussi dans son décolleté et sur sa robe. 

Les autres hommes se sont rapprochés et leurs gestes se font plus saccadés. Je comprends ce qui va advenir et laisse donc ma place. Ils viennent l’un après l’autre honorer ma complice de leurs éjaculations avant de disparaître dans l’obscurité. Elle semble se soucier comme d’une guigne d’avoir été souillée ainsi bien au contraire. Ce sont des vêtements bon marché qu’elle conserve ensuite en guise de trophées dans une partie secrète de son dressing et elle a des housses prévues à cet effet dans sa valise. Sandra, c’est son prénom, me remercie de ce bon moment mais doit me laisser. Elle doit passer à sa cabine enfiler la tenue qui l’amènera au bout de la nuit à la discothèque du bateau. 

  • Et plus si affinités… 

Je n’ai aucun doute quant au fait qu’elle n’a pas fini de prendre du bon temps. 

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